Bâtir sur le fondement de Jésus-Christ
(1949-2005)
Dans la région où j’ai vécu pendant plusieurs années, il y avait de fréquentes offres de service concernant la réparation de fondations. Cette région était assise sur une terre principalement constituée de glaise, une sorte de terre qui, avec le temps, avait tendance à se fissurer et à bouger. Cela provoquait des dégâts à la structure des édifices. Parfois, de tels dommages sont mineurs, parfois ils sont majeurs, mais aucune structure ne peut être plus solide et stable que la fondation sur laquelle elle est bâtie.
Lorsque la fondation d’un édifice bouge, les autres parties de l’édifice bougent aussi. Dans certains cas, il peut s’agir de fines fissures qui apparaissent sur les murs ou au plafond. Dans d’autres cas, s’il s’agit d’un déplacement majeur, le plancher peut présenter une déclivité importante, et les portes peuvent devenir difficiles à ouvrir et à fermer. Les problèmes causés par une fondation imparfaite sont multiples et peuvent être très sérieux.
Cela n’est pas seulement vrai pour les maisons et les bâtiments, mais aussi dans notre vie ! Sur quelle fondation votre vie est-elle bâtie ? Est-elle solide ? Pouvez-vous dire que cette fondation ne se fissurera jamais ? Nous avons tous connu et aimé des gens dont la vie a dramatiquement changé – et dans certain cas, elle s’est même brisée. Comment pouvez-vous vous assurer qu’une telle chose ne vous arrive jamais ?
Jésus de Nazareth a grandi en apprenant le métier de Joseph, le métier de charpentier. Il avait appris comment bâtir des structures stables et solides. De temps à autre, au cours de Son ministère, Jésus utilisa dans Ses paraboles des analogies provenant de la construction. Nous en trouvons un exemple dans Matthieu 7 : 24-27, où Il décrit deux hommes bâtissant sur des fondements bien différents. L’un bâtit sur le sable, tandis que l’autre bâtit sur le roc. A première vue, les deux maisons étaient très belles. Mais lorsqu’une violente tempête s’éleva, l’une résista, tandis que l’autre s’effondra. Le Christ utilisa cette parabole pour nous enseigner qu’une vie bâtie sur un fondement solide est une vie basée sur l’obéissance à Ses enseignements. L’obéissance à Dieu est la seule façon de résister aux tempêtes de la vie.
La Bible nous dit que Jésus-Christ doit être notre fondement. Il est le Rocher sur lequel l’Eglise même est bâtie (Matthieu 16 :18). Cela signifie que la véritable Eglise pratique et enseigne ce que le Christ pratiqua et enseigna Lui-même. D’ailleurs, le Christ doit être le fondement personnel sur lequel chacun d’entre nous bâtit sa vie. Que signifie cela, au juste ? Comment pouvons-nous mettre en pratique ces instructions ?
Dans sa lettre aux Corinthiens, l’apôtre Paul insiste sur le fait qu’il prêche « Christ crucifié », scandale pour les Juifs et folie pour les Grecs (1 Corinthiens 1 :22-23). Les Juifs attendaient un grand signe miraculeux provenant des cieux, alors que les Grecs voulaient que tout soit logique et rationnel. Un Messie qui avait souffert et qui était mort était une pierre d’achoppement pour les Juifs, car ils attendaient un Messie qui aurait « impressionné et forcé le respect des païens ». Pour les Grecs, un Sauveur qui souffre n’avait aucun sens. Ils n’y voyaient aucune logique. Ils avaient tous leurs propres attentes, et le plan divin ne répondait pas à leurs idées préconçues.
Le message de l’apôtre Paul mettait l’accent sur des choses bien différentes auxquelles ces groupes s’attendaient. Il leur expliqua : « Car je n’ai pas eu la pensée de savoir parmi vous autre chose que Jésus-Christ, et Jésus-Christ crucifié » (1 Corinthiens 2 :2). L’ensemble du message de Paul était centré sur Jésus-Christ – pas simplement sur la personne du Christ – sur l’exemple et le message du Christ ! L’apôtre Paul dit aux Corinthiens : « Car nous sommes ouvriers avec Dieu. Vous êtes le champ de Dieu, l’édifice de Dieu. Selon la grâce de Dieu qui m’a été donnée, j’ai posé le fondement comme un sage architecte, et un autre bâtit dessus. Mais que chacun prenne garde à la manière dont il bâtit dessus. Car personne ne peut poser un autre fondement que celui qui a été posé, savoir Jésus-Christ » (1 Corinthiens 3 :9-11).
L’apôtre Paul déclare que Jésus-Christ est le seul fondement possible. Est-Il le fondement de votre vie ? Comment pouvez-vous en être certain ? S’Il ne l’est pas, alors tout ce que vous bâtirez finira par s’écrouler et tomber en morceaux, car il n’y a aucune autre fondation fiable. Souvenez-vous ce que Jésus Lui-même a expliqué : pour bâtir sur le roc, nous devons, non seulement écouter Ses enseignements, mais aussi les mettre en pratique dans notre vie (Matthieu 7 :24). A quoi ressemble une vie qui repose sur Jésus-Christ ? Comment avoir cette vie ?
Une vie de soumission
En tout premier lieu, une vie qui repose sur le fondement de Jésus-Christ est une vie de soumission. Aucune vie fondée sur l’entêtement ne peut être un succès spirituel. Jésus déclara : « Car je suis descendu du ciel pour faire, non ma volonté, mais la volonté de celui qui m’a envoyé » (Jean 6 :38).
Renoncer à notre entêtement est probablement la tâche la plus difficile à accomplir. Humainement, nous voulons tous suivre notre propre voie ! La crainte est un élément majeur qui fait que nous comptons plus sur nous-mêmes que sur Dieu, parce que nous ne savons pas exactement quelle est Sa volonté. C’est pourquoi, nous avons tendance à nous protéger contre ce que nous percevons comme une menace ou une perte.
Jésus compara plusieurs chefs religieux de Son temps à des enfants jouant sur la place publique. Ils étaient très frustrés, car Jean-Baptiste, puis Jésus Lui-même, ne dansaient pas sur leur musique (Matthieu 11 :16-19). Bien que Jean fût le premier prophète de Dieu depuis plus de quatre siècles, et que Jésus Lui-même fût le Messie, ni l’un ni l’autre ne se conformèrent aux attentes de ces chefs religieux. Il en résulta que la plupart de ces chefs rejetèrent les véritables serviteurs de Dieu. Les chefs religieux, à l’époque du Christ, n’étaient pas entièrement soumis à la volonté divine ; ils voulaient que les choses se fassent à leur façon.
Le récit le plus puissant, illustrant la soumission, est probablement celui de Jésus priant Son Père juste, avant Son arrestation et Sa crucifixion. Peu après le repas de la Pâque, alors que Jésus arrivait au jardin de Gethsémané avec Ses disciples, l’horreur de ce qui L’attendait Lui parut trop grand à supporter. Il alla alors à l’écart des disciples, à une certaine distance, et S’adressa à Son Père, dans une prière d’agonie. Il pria avec une telle intensité que sa sueur devint comme des grumeaux de sang. Il cria au Père « que cette coupe s’éloigne de moi », s’il y avait une autre façon d’accomplir le plan divin. « Toutefois, déclara-t-il, non pas ce que je veux, mais ce que tu veux » (Matthieu 26 :36-39). Jésus-Christ enfouit complètement le moindre soupçon d’entêtement, et Se soumit inconditionnellement à la volonté de Dieu. Une vie bâtie sur le fondement de Jésus-Christ ne peut être qu’une vie de soumission !
Une vie consacrée
« Consacrer » signifie mettre à part pour un service divin. La consécration était un concept fréquemment utilisé dans l’Ancien Testament pour décrire quelque chose qui appartenait à Dieu ou qui Lui était dédié. Les offrandes, les dîmes et même la tribu de Lévi étaient « consacrées » ou dédiées à Dieu, et pour Son usage. Quand Israël entra dans la Terre promise, toute la ville de Jéricho – représentant les prémices de la conquête d’Israël – fut consacrée à Dieu. C’était quelque chose de très sérieux. Quand Acan prit secrètement de l’argent, de l’or et des vêtements, il attira la malédiction divine sur le peuple entier. Acan avait pris pour lui des choses qui étaient consacrées à Dieu.
Jésus-Christ consacra complètement Sa vie à Dieu. Dans Jean 4, on peut lire que Jésus et les disciples voyageaient de la Judée en Galilée et s’arrêtèrent en chemin, en Samarie. Pendant que Ses disciples étaient partis en ville pour acheter de la nourriture, Jésus attendait près du puits. Lorsque Ses disciples revinrent, une foule s’était réunie autour de Jésus qui expliquait le plan divin et son but. Impatients de commencer leur repas, les disciples pressèrent le Christ de manger : « J’ai à manger une nourriture que vous ne connaissez pas », leur dit-Il. Intrigués de savoir où Il avait obtenu cette nourriture, ils commencèrent à discuter ensemble. Jésus, réalisant qu’ils n’avaient pas compris, leur expliqua : « Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre » (Jean 4 :34).
Pour les disciples, la vie se limitait d’une façon générale aux choses physiques. Jésus-Christ, quant à Lui, vivait Sa vie pour plaire au Père, et pour achever le travail spirituel qui Lui avait été donné de faire. Sa vie tout entière fut consacrée à Dieu et à Son service. Donc une vie basée sur le fondement de Jésus-Christ est une vie de consécration.
Que signifie cela pour nous ? Il est certain que le Christ accomplissait les actes normaux de la vie quotidienne. Il fut éduqué (Luc 2 :52), puis, avant le début de Son ministère, Il travailla comme charpentier (Marc 6 :3) et Il trouva le temps de participer à des événements sociaux (Jean 2 :1-2). Malgré cela, dès Son plus jeune âge, Il était profondément conscient qu’Il devait prendre soin des affaires de Son Père (Luc 2 :49). Jésus mettait la priorité sur l’accomplissement du but que Dieu Lui avait fixé.
Une vie d’humilité
L’orgueil est un grand défaut de la nature humaine. Lorsqu’il était jeune homme, Benjamin Franklin entreprit le projet d’atteindre la perfection morale. Il avait un plan bien défini : il établit une liste de vertus dont il voulait imprégner son caractère, puis il les travailla une à une ! Il avait planifié d’une vertu, une habitude avant de passer à la suivante, jusqu’à ce qu’il ait complété ainsi toute sa liste. Franklin eut plus de difficulté avec certaines qu’avec d’autres, mais il réalisa bientôt l’impossibilité de la tâche. La vertu qu’il trouva la plus difficile à atteindre, c’était l’humilité. Puis, frustré, il déclara : « Je crains que si je devenais véritablement humble, je m’enorgueillirai. »
De toute évidence, l’humilité ne vient pas naturellement. D’autre part, la Bible déclare : « Dieu résiste aux orgueilleux, mais il fait grâce aux humbles » (Jacques 4 :6). Le seul qui aurait pu être fier, c’est Jésus de Nazareth. Pourtant, dans Matthieu 11 :29, Il déclare : « Je suis doux et humble de cœur. » Pourquoi ? Parce que Jésus avait les yeux fixés vers le Père et non pas sur Lui-même. Il admettait volontiers qu’Il ne pouvait rien faire de Lui-même, et que c’était le Père qui œuvrait en Lui (Jean 5 :30 ; 14 :10). La véritable humilité s’acquiert en se comparant à Dieu et à Sa magnificence. L’orgueil vient d’une approche de la vie qui est centrée sur soi-même, et qui souvent inclut des illusions d’autosuffisance. Une vie bâtie sur le fondement de Jésus-Christ est une vie d’humilité.
Une vie de service
Jésus-Christ parla à maintes reprises du Royaume de Dieu. Ses disciples comprenaient qu’Il parlait d’un Royaume littéral, et qu’eux-mêmes hériteraient un jour d’un poste d’autorité dans ce Royaume. Par contre, leur concept de ce que devrait être un dirigeant était largement teinté par l’exemple des dirigeants de l’Empire romain, qu’ils voyaient tout autour d’eux. De temps à autre, ils avaient des disputes pour savoir lequel d’entre eux serait le plus grand dans le Royaume. Jésus voulut leur faire comprendre que la véritable grandeur, n’est pas basée sur le fait d’avoir les autres à son service, mais sur le fait que chacun doit vivre une vie de service envers les autres. Jésus leur dit : « Le plus grand parmi vous sera votre serviteur » (Matthieu 23 :11).
Le soir de la dernière Pâque, Jésus surprit Ses disciples. Après S’être attablé, Il Se leva, prit un linge et un récipient rempli d’eau, puis commença à laver les pieds de Ses disciples. C’était une tâche généralement réservée au plus bas des serviteurs de la maison. Lorsqu’Il eut terminé, Il leur demanda : « Comprenez-vous ce que je vous ai fait ? Vous m’appelez Maître et Seigneur ; et vous dites bien, car je le suis. Si donc je vous ai lavé les pieds, moi, le Seigneur et le Maître, vous devez aussi vous laver les pieds les uns aux autres ; car je vous ai donné un exemple, afin que vous fassiez comme je vous ai fait » (Jean 13 :12-15). Jésus-Christ enseigna qu’une vie bien orientée doit être une vie de service envers les autres. C’est exactement le contraire d’une vie égocentrique. Si nous bâtissons sur le fondement de Jésus-Christ, nous ne mènerons pas une vie d’égoïsme et d’indulgence, mais plutôt une vie de service envers les autres.
Une vie d’amour
L’auto indulgence et l’orgueil viennent du fait que la plupart des gens sont fortement concernés par eux-mêmes, c’est un sentiment naturel. En fait, même lorsqu’ils font quelque chose pour les autres, ils le font pour des motifs personnels. Même des actes d’abnégation peuvent être transformés en un désir de s’exalter soi-même. Remarquez ce que dit l’apôtre Paul dans 1 Corinthiens 13 :1-3 : « Quand je parlerais les langues des hommes et des anges, si je n’ai pas l’amour, je suis un airain qui résonne, ou une cymbale qui retentit. Et quand j’aurais […] la science de tous les mystères et toute la connaissance, quand j’aurais même toute la foi […] Et quand je distribuerais tous mes biens pour la nourriture des pauvres, quand je livrerais même mon corps pour être brûlé, si je n’ai pas l’amour, cela ne me sert à rien. » Accomplir des actes « d’amour », sans le véritable amour, ne nous apporte rien !
Pourquoi l’amour est-il si important ? Dieu est en train de fonder une Famille, et les familles saines ont des relations saines basées sur l’amour. Nos relations, les uns envers les autres et aussi avec Dieu Lui-même, doivent être basées sur le véritable amour. C’était le fondement sous-jacent de tout ce que fit Jésus-Christ. « Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis » (Jean 15 :13). Non seulement l’amour était la base de tout ce que faisait Jésus, mais il devrait aussi être la caractéristique de Ses véritables disciples : « Je vous donne un commandement nouveau : Aimez-vous les uns les autres […] A ceci tous connaîtront que vous êtes mes disciples, si vous avez de l’amour les uns pour les autres » (Jean 13 :34-35). Une vie basée sur le fondement de Jésus-Christ est une vie basée sur l’amour envers Dieu, et sur l’amour envers son prochain.
Une vie d’obéissance
Une des caractéristiques fondamentales du véritable amour envers Dieu consiste à obéir à Ses commandements. L’apôtre Jean nous dit : « Nous connaissons que nous aimons les enfants de Dieu, lorsque nous aimons Dieu, et que nous pratiquons ses commandements. Car l’amour de Dieu consiste à garder ses commandements. Et ses commandements ne sont pas pénibles » (1 Jean 5 :2-3). En d’autres termes, si l’obéissance n’est pas basée sur l’amour, elle ne durera pas ! Les pharisiens se vantaient de leur obéissance aux lois divines, mais leur obéissance s’effondra dès qu’ils se sentirent personnellement menacés par le ministère du Christ (Jean 11 :47-48). Ils achetèrent de faux témoins et s’arrangèrent même pour faire mourir un innocent. Les actions qu’ils entreprirent étaient une désobéissance directe aux Dix Commandements, mais cela ne les gênait pas. Leur obéissance ne tint pas face à leur stress.
Jésus-Christ vécut une vie d’obéissance totale envers Son Père. Il observa les commandements de Son Père (Jean 15 :10), et instruisit Ses disciples à suivre Son exemple. Contrairement aux enseignements du christianisme « populaire », le Christ expliqua qu’Il n’était pas venu pour abolir la loi, mais pour l’accomplir et la magnifier (Matthieu 5 :17). Reconnaître Jésus-Christ en tant que notre Seigneur implique de vivre une vie d’obéissance (Matthieu 7 :21). Bâtir notre vie sur le fondement de Jésus-Christ, signifie obéir aux commandements divins dans notre vie quotidienne.
Une vie de foi
Non seulement l’amour est essentiel aux relations familiales saines, mais il faut aussi de la confiance. Sans la foi, il est impossible de plaire à Dieu (Hébreux 11 :6). Si nous ne faisons pas entièrement confiance à Dieu, nous ne pourrons pas Lui obéir inconditionnellement et en toute circonstance. Nous prendrons alors la vie entre nos mains et essaierons de résoudre les choses à notre façon. Par contre, la Famille de Dieu sera en mesure de vivre en paix et en harmonie pour l’éternité, parce que chacun fera confiance au Père. Les membres de Sa Famille croiront en Sa parole et seront prêts à suivre toutes Ses instructions.
La véritable foi vient d’une relation intime et profonde avec Dieu – d’une véritable connaissance de Dieu. Jésus-Christ est venu pour nous révéler le Père et nous Le faire connaître. Il faisait totalement confiance au Père en toute circonstance, et affirma que les disciples devaient faire de même (Jean 16 :26-27). Juste après la transfiguration, un événement permit à Jésus-Christ d’enseigner à Ses disciples l’importance de la foi. Un homme vint Lui présenter son enfant, que les disciples n’avaient pu guérir. L’homme supplia Jésus d’avoir compassion et de l’aider s’Il le pouvait. Jésus lui dit : « Si tu peux !… Tout est possible à celui qui croit. Aussitôt le père de l’enfant s’écria : Je crois ! viens au secours de mon incrédulité ! » (Marc 9 :23-24). Le Christ guérit l’enfant. Plus tard, les disciples demandèrent à Jésus pourquoi ils n’avaient réussi à accomplir eux-mêmes un tel miracle. Il leur dit que la prière et le jeûne sont des clés nécessaires pour de tels miracles (versets 28-29).
Jésus marchait et parlait avec le Père en tout temps. Du fait qu’Il entretenait continuellement cette relation, celle-ci était toujours fraîche et intime. De cette relation, il en résulta une foi et une confiance inébranlables. Nous pouvons aussi avoir cette foi, si nous entretenons une telle relation avec Dieu. Si nous bâtissons notre vie sur le fondement de Jésus-Christ, alors la foi sera une partie vitale de cette fondation.
Excepté le fondement de Jésus-Christ, il n’y a aucun autre fondement sur lequel nous pouvons bâtir, qui ne se fissurera pas et ne glissera jamais. Il est l’unique fondement de notre vie. Nous devons nous assurer de bâtir sur Lui en tout point.