La révélation
Dans les années 1980, M. Herbert W. Armstrong avait écrit une brochure intitulée Un monde retenu captif. Dans cet ouvrage remarquable, il montrait clairement que la plupart des êtres humains ignorent complètement qui ils sont, ce qu’ils font sur la Terre et quel sera leur avenir. Satan et les sociétés corrompues qui se sont développées en suivant ses voies retiennent désormais l’espèce humaine captive, dans l’ignorance la plus totale.
Cela amène l’Église de Dieu – et nous, les membres de cette Église – au premier plan concernant l’avenir de l’humanité. C’est une grande déclaration, mais c’est une déclaration véritable – et en tant qu’Église, nous devons bien la comprendre en ces temps de la fin.
Satan le diable a réussi à séduire l’humanité. Il a détruit toute connaissance de la vérité, tant par une perversion complètement païenne que par une vérité subtilement détournée à son avantage. Il est intéressant de noter que le plus grand ennemi de la véritable Église de Dieu n’est pas le paganisme – c’est le christianisme perverti.
À cause de Satan, l’humanité a perdu et oublié le but pour lequel Dieu nous a créés. Comme l’a écrit M. Armstrong : « Le dessein divin consiste donc, pour Dieu, à Se reproduire en l’homme – à accroître la famille divine à partir de la famille des hommes. Ne perdez pas de vue que Dieu possède un caractère spirituel parfait. Il faut entendre, par caractère, la capacité, chez un individu, d’adopter les vraies valeurs plutôt que les fausses, de choisir le bien au lieu du mal, et de se forcer à faire ce qui est bien alors que sa tendance naturelle lui dicte le contraire » (Un monde retenu captif, page 18).
Dieu a révélé cette vérité à Son Église. Mais les gens du monde ne veulent pas en entendre parler, alors que c’est leur seul espoir. Ils préfèrent croire désespérément au mensonge et ils chercheront même à tuer les véritables chrétiens en pensant servir Dieu ! Nous devons mettre l’accent sur cette vision d’espoir au sujet de notre identité – pas seulement concernant notre espérance, mais celle de toute l’humanité.
Un bon point de départ consiste à comprendre ce qui s’est passé lors de notre conversion et ce qui continue à s’accomplir aujourd’hui en nous. L’apôtre Paul expliqua clairement ce point : « Pour vous, vous ne vivez pas selon la chair, mais selon l’Esprit, si du moins l’Esprit de Dieu habite en vous. Si quelqu’un n’a pas l’Esprit de Christ, il ne lui appartient pas. Et si Christ est en vous, le corps, il est vrai, est mort à cause du péché, mais l’Esprit est vie à cause de la justice. Et si l’Esprit de celui qui a ressuscité Jésus d’entre les morts habite en vous, celui qui a ressuscité Christ d’entre les morts rendra aussi la vie à vos corps mortels par son Esprit qui habite en vous » (Romains 8 :9-11).
Les chrétiens sont définis comme étant ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu qui habite en eux. L’ensemble du chapitre 8 de l’épître aux Romains fournit un espoir aux chrétiens à travers le Saint-Esprit – contrastant ainsi avec le chapitre précédent dans lequel Paul dressait un bilan personnel presque sans espoir. Nous ne devrions jamais lire le septième chapitre sans enchaîner sur le huitième, montrant clairement que les chrétiens ne marchent pas selon la chair, mais selon l’Esprit (versets 1 et 4), et qu’ils se focalisent sur les choses de l’Esprit (verset 5) qui ne sont pas charnelles mais spirituelles (versets 6-9).
Notre famille
Cette vérité limpide nous unit en tant que famille de Dieu sur cette Terre : « Car tous ceux qui sont conduits par l’Esprit de Dieu sont fils de Dieu. Et vous n’avez point reçu un esprit de servitude pour être encore dans la crainte ; mais vous avez reçu un Esprit d’adoption [de filiation], par lequel nous crions : Abba ! Père ! L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu » (Romains 8 :14-16).
Pourquoi est-il si important que nous comprenions ce concept de la famille ? Deux des versets bibliques les plus remarquables nous donnent la réponse : « J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu » (versets 18-19).
Pourquoi est-ce si remarquable ? Analysons les mots « révélé(e) » et « révélation ». Les mots grecs utilisés par Paul sont apokalupto, qui signifie découvrir ou dévoiler ce qui était voilé ou recouvert ; et apokalupsis, mettre à nu, dénuder ou découvrir tout ce qui concerne la révélation d’une vérité ou d’une instruction cruciale à l’ensemble de la création basée sur les « fils de Dieu ». La création attend ardemment cette révélation. Oui, elle l’attend avec impatience !
Que voulait dire Paul au verset 18 ? Il déclara sans ambiguïté que les véritables chrétiens sont au centre du plan de Dieu pour l’humanité. Dans la perspective divine, nous sommes Son plan de salut. Nous sommes des modèles vivants, montrant que par Son Saint-Esprit il est possible de vivre dans la chair comme l’a fait Jésus quand Il est venu (la première fois). Cette vérité nous fera connaître – nous révélera – à toute l’humanité lorsque nous serons révélés comme les fils et les filles de Dieu.
Les Écritures donnent-elles la preuve de cette révélation ? « Voyez quel amour le Père nous a témoigné, pour que nous soyons appelés enfants de Dieu ! Et nous le sommes. Si le monde ne nous connaît pas, c’est qu’il ne l’a pas connu. Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté [révélé] ; mais nous savons que, lorsqu’il paraîtra, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est » (1 Jean 3 :1-2). Jean employa ici un mot différent, traduit en français par « manifesté » ; il s’agit de phaneroō, c’est-à-dire devenir notoire, être pleinement reconnu, complètement compris, à propos de la personnalité et la qualité d’une personne.
Paul confirma cela en approfondissant la portée de cet événement : « Quand Christ, votre vie, paraîtra [phaneroō], alors vous paraîtrez aussi avec lui dans la gloire » (Colossiens 3 :4). Nous serons reconnus dans la gloire de Jésus – possédant la gloire même de Dieu. Le mot « gloire » vient de doxa, signifiant contextuellement la majesté d’une chose n’appartenant qu’à Dieu. Les simples êtres mortels qui revendiquent le titre de roi ou de reine usurpent la signification céleste de ce titre quand ils insistent pour se faire appeler « sa majesté royale ». Il n’y a rien de majestueux ni de « glorieux » dans un être mortel. Mais les chrétiens sont appelés à devenir majestueux et glorifiés, comme le sont actuellement le Père et Jésus.
Revenons à l’épître aux Romains, où Paul montra que le processus de la révélation des saints les lie directement à la nature divine : « L’Esprit […] rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui. J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous » (Romains 8 :16-18). Comprenez-vous les implications de cette révélation ? Que signifie « être glorifié avec lui » ? L’expression vient de sundoxazō, signifiant être élevé en dignité ou glorifié en compagnie de Jésus.
Notre destinée
Au cours de la Fête des Tabernacles que nous avons célébrée, l’Église a répété que Dieu se préoccupe de l’ensemble de Sa création : « Jérusalem, Jérusalem, qui tues les prophètes et qui lapides ceux qui te sont envoyés, combien de fois ai-je voulu rassembler tes enfants, comme une poule rassemble ses poussins sous ses ailes, et vous ne l’avez pas voulu ! » (Matthieu 23 :37). La Fête des Tabernacles nous concerne, mais elle n’est pas seulement pour nous. Elle préfigure l’accomplissement imminent du plan de salut de Dieu, qui sera révélé en nous et par nous, au cours des premières années du Millénium à venir. Dieu considère autant Israël que le reste du monde comme Ses enfants.
Cela devrait nous aider à mieux comprendre ce que Paul essayait de communiquer aux membres de l’Église à Rome : « Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité – non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise, – avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement. Et ce n’est pas elle seulement ; mais nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption [la véritable affiliation], la rédemption de notre corps » (Romains 8 :19-23). C’est un événement qui aura des ramifications jusqu’aux confins de l’univers. Relisez à présent les versets 16 à 23 dans ce contexte. Cela vous concerne.
« L’Esprit lui-même rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui. J’estime que les souffrances du temps présent ne sauraient être comparées à la gloire à venir qui sera révélée pour nous. Aussi la création attend-elle avec un ardent désir la révélation des fils de Dieu. Car la création a été soumise à la vanité – non de son gré, mais à cause de celui qui l’y a soumise – avec l’espérance qu’elle aussi sera affranchie de la servitude de la corruption, pour avoir part à la liberté de la gloire des enfants de Dieu. Or, nous savons que, jusqu’à ce jour, la création tout entière soupire et souffre les douleurs de l’enfantement. Et ce n’est pas elle seulement ; mais nous aussi, qui avons les prémices de l’Esprit, nous soupirons en nous-mêmes, en attendant l’adoption, la rédemption de notre corps » (Romains 8 :16-23).
La question est – ou devrait être – évidente à nos yeux : quelle sorte d’individus devons-nous être pour vivre d’une manière sainte, pour révérer et respecter Dieu, afin qu’Il puisse nous utiliser ainsi ? L’apôtre Pierre nous révéla l’étendue de ce que cela implique : « Mais, puisque celui qui vous a appelés est saint, vous aussi soyez saints dans toute votre conduite, selon qu’il est écrit : Vous serez saints, car je suis saint. Et si vous invoquez comme Père celui qui juge selon l’œuvre de chacun, sans favoritisme, conduisez-vous avec crainte pendant le temps de votre séjour sur la terre ; vous savez que ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache » (1 Pierre 1 :15-19). Nous devons nous impliquer totalement dans tout ce que nous faisons. Pierre a dit « dans toute votre conduite », il n’est pas question d’en laisser une partie de côté.
Dieu dit que le chrétien est saint grâce au Saint-Esprit qui demeure en lui. Pierre exposa davantage ce concept de la sainteté : « Vous savez que ce n’est pas par des choses périssables, par de l’argent ou de l’or, que vous avez été rachetés de la vaine manière de vivre que vous aviez héritée de vos pères, mais par le sang précieux de Christ, comme d’un agneau sans défaut et sans tache ; prédestiné avant la fondation du monde, il fut manifesté à la fin des temps, à cause de vous ; par lui, vous croyez en Dieu qui l’a ressuscité des morts et lui a donné la gloire, en sorte que votre foi et votre espérance reposent sur Dieu. Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère, aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre cœur » (versets 18-22).
Notre conduite sainte
Quels résultats découleront de cette soumission à Dieu, de l’amour et du dévouement envers les frères et sœurs dans Son Église ? Lorsque nous serons révélés, notre conduite actuelle glorifiera Dieu : « Ayez au milieu des païens une bonne conduite, afin que, là même où ils vous calomnient comme si vous étiez des malfaiteurs, ils remarquent vos bonnes œuvres, et glorifient Dieu, au jour où il les visitera » (1 Pierre 2 :12).
Dans les derniers versets que nous avons lus, Pierre a utilisé quatre fois le mot « conduite » (anastrophē). Il est important que nous comprenions la nécessité d’être saints et tout ce que cela implique. Pierre déclara : « Ayant purifié vos âmes en obéissant à la vérité pour avoir un amour fraternel sincère, aimez-vous ardemment les uns les autres, de tout votre cœur » (1 Pierre 1 :22).
C’est ce que nous devons faire, mais cela n’est possible que par l’Esprit de Dieu en nous. Pierre n’est pas le seul à parler de « purifier nos âmes », l’apôtre Jean martela aussi l’importance du processus de purification de nos pensées : « Bien-aimés, nous sommes maintenant enfants de Dieu, et ce que nous serons n’a pas encore été manifesté ; mais nous savons que, lorsqu’il paraîtra, nous serons semblables à lui, parce que nous le verrons tel qu’il est. Quiconque a cette espérance en lui se purifie, comme lui-même est pur » (1 Jean 3 :2-3). Le verbe « se purifier » est hagnizō, qui signifie rendre pur moralement d’un point de vue spirituel ou cérémoniel – et Jean expose pleinement la responsabilité individuelle que cela représente pour un chrétien.
Encore une fois, c’est notre conduite sainte pendant cette vie physique qui nous révélera aux autres. « Celui qui dit qu’il demeure en lui doit marcher aussi comme il a marché lui-même » (1 Jean 2 :6). Nous devons être conscients de ce que nous sommes : « Que le Seigneur fasse croître et abonder l’amour que vous avez les uns pour les autres, et pour tous, à l’exemple de celui que nous avons pour vous ; qu’il affermisse vos cœurs pour qu’ils soient irréprochables dans la sainteté devant Dieu notre Père, lors de l’avènement de notre Seigneur Jésus avec tous ses saints ! » (1 Thessaloniciens 3 :12-13). L’idée d’être « irréprochable dans la sainteté » peut paraître intimidante. L’original grec est amemptos hagiōsunē, c’est-à-dire sans faute ni défaut dans notre caractère saint et chrétien.
C’est ce que M. Armstrong déclarait au sujet du caractère, dans la citation au début de l’article : « Il faut entendre, par caractère, la capacité, chez un individu, d’adopter les vraies valeurs plutôt que les fausses, de choisir le bien au lieu du mal, et de se forcer à faire ce qui est bien alors que sa tendance naturelle lui dicte le contraire. » Cela sera aussi révélé – manifesté – alors que nous vivons actuellement dans la chair.
L’apôtre Jean fut très clair à ce sujet : « Petits enfants, que personne ne vous séduise. Celui qui pratique la justice est juste, comme lui-même est juste […] C’est par là que se font reconnaître les enfants de Dieu et les enfants du diable. Quiconque ne pratique pas la justice n’est pas de Dieu, ni celui qui n’aime pas son frère » (1 Jean 3 :7-10). Nous sommes ce que les gens voient en nous. Le contraste se situe entre le bien et le mal.
La comparaison est révélée par nos actions. L’Esprit de Dieu rend évident aux yeux de ceux qui nous entourent que nous sommes les enfants de Dieu. Notez encore ceci : « L’Esprit […] rend témoignage à notre esprit que nous sommes enfants de Dieu. Or, si nous sommes enfants, nous sommes aussi héritiers : héritiers de Dieu, et cohéritiers de Christ, si toutefois nous souffrons avec lui, afin d’être glorifiés avec lui » (Romains 8 :16-17). L’Esprit « rend témoignage » – autrement dit, révèle la compréhension que nous sommes les enfants de Dieu.
Là encore, le mot « glorifié » signifie majesté, un attribut relatif à Dieu. Paul encouragea ainsi les Thessaloniciens : « C’est pourquoi aussi nous prions continuellement pour vous, afin que notre Dieu vous juge dignes de la vocation, et qu’il accomplisse par sa puissance tous les desseins bienveillants de sa bonté, et l’œuvre de votre foi ; ainsi le nom de notre Seigneur Jésus sera glorifié en vous, et vous serez glorifiés en lui, selon la grâce de notre Dieu et du Seigneur Jésus-Christ » (2 Thessaloniciens 1 :11-12). Cela est illustré dans le contexte à partir du verset 10.
Notre défi
La parole de Dieu révèle clairement la tâche que nous devons accomplir : « Ainsi, mes bien-aimés, comme vous avez toujours obéi, mettez en œuvre votre salut avec crainte et tremblement, non seulement comme en ma présence, mais bien plus encore maintenant que je suis absent » (Philippiens 2 :12). Ce n’est pas toujours facile, mais les chrétiens peuvent le faire « car c’est Dieu qui produit en vous le vouloir et le faire, selon son bon plaisir » (verset 13).
Notre succès est fondé sur la parole de Dieu, la parole de « vérité ». Jésus a dit que nous connaîtrons la vérité et que celle-ci nous rendra « libres » (Jean 8 :32, Martin). La vérité nous sanctifie et nous rend saints. Comme cela a été dit précédemment, elle nous rend sans faute ni défaut dans notre caractère saint, avec l’aide du Saint-Esprit.
Une dernière réflexion : « Béni soit Dieu, le Père de notre Seigneur Jésus-Christ, qui, selon sa grande miséricorde, nous a régénérés, pour une espérance vivante, par la résurrection de Jésus-Christ d’entre les morts, pour un héritage qui ne peut ni se corrompre, ni se souiller, ni se flétrir ; il vous est réservé dans les cieux, à vous qui, par la puissance de Dieu, êtes gardés par la foi pour le salut prêt à être révélé dans les derniers temps ! » (1 Pierre 1 :3-5).
Avez-vous noté que vous, (insérez votre nom ici), êtes gardé(e) par la puissance de Dieu grâce à ce que vous faites et ce que vous croyez, afin d’être sauvé(e) et révélé(e) à la toute fin ?
Gardés par la puissance de Dieu ? Une dernière référence grecque, le mot « gardé » vient de phroureō, signifiant préserver en veillant et en gardant une personne protégée qui doit obtenir quelque chose, « afin que l’épreuve de votre foi, plus précieuse que l’or périssable (qui cependant est éprouvé par le feu), ait pour résultat la louange, la gloire et l’honneur, lorsque Jésus-Christ apparaîtra. Vous l’aimez sans l’avoir vu, vous croyez en lui sans le voir encore, vous réjouissant d’une joie merveilleuse et glorieuse, parce que vous obtiendrez le salut de vos âmes pour prix de votre foi » (versets 7-9).
Êtes-vous prêt(e) à être révélé(e) dans cette gloire ?