Pureté, honneur et respect
Alors que l’Église de Dieu à la Radio se développait au cours du 20ème siècle, le besoin se fit sentir d’aider les jeunes de l’Église à naviguer au milieu d’une culture devenant de plus en plus corrompue. C’est ainsi qu’un camp d’été pour les adolescents fut créé en 1962. Plusieurs de ces jeunes pionniers sont encore là ; mon épouse en fait partie. Au cours des premières années, cela ressemblait davantage à un camp d’entraînement militaire. Les campeurs « sortaient » à 6 heures du matin pour faire de l’exercice, les inspections étaient rigoureuses et des coups étaient donnés pour réprimander les infractions. Les camps sont très différents de nos jours !
Il est facile de regarder en arrière et de se demander comment un camp a pu être aussi exigeant, mais il ne faut pas oublier le contexte historique et culturel de l’époque. La plupart des premiers responsables des camps avaient servi dans l’armée au cours de la Deuxième Guerre mondiale ou avaient été influencés par ceux qui avaient combattu. À l’époque, les inspections, les marches et les coups de bâton étaient également courants chez les scouts, auxquels j’ai participé avant de découvrir la vérité divine. C’était un monde différent et il n’était pas aussi mauvais qu’il puisse paraître aux yeux des gens d’aujourd’hui. Cette première année, le camp dura huit semaines et de nombreux campeurs revinrent l’année suivante pour un camp plus court de six semaines, même s’il faisait 38°C et qu’ils étaient logés dans des chalets sans air conditionné ! Les sports, les danses et les autres activités permirent de nouer d’innombrables amitiés durables.
En 1965, le camp fut déplacé du Texas vers Orr, dans le Minnesota. Quelques années plus tard, il s’avéra qu’un seul camp d’été ne suffisait pas pour faire en sorte que « les jeunes restent dans l’Église ». Des personnes bien intentionnées, dévouées et sincères établirent un programme sous l’acronyme YOU (Youth Opportunities United, ou Initiative jeunesse unie). Puisque de nombreux pasteurs étaient jeunes et sportifs, un programme de basketball fut introduit pour les garçons et de volleyball pour les filles. De jeunes adultes ont également formé des équipes et différentes congrégations s’affrontèrent les unes les autres. Des tournois commencèrent à être organisés, avec une participation régionale. C’était très divertissant, mais coûteux, car il fallait louer des locaux pour les entraînements et les matchs. Les tournois entraînaient pour les familles des frais de déplacement, de restauration et d’hébergement. Cela prenait également beaucoup de temps.
Certaines régions avaient des programmes bien organisés avec un bon esprit sportif, mais celui-ci commença à se détériorer dans d’autres régions. Au lieu de rapprocher les jeunes des différentes congrégations de l’Église, les tournois devenaient trop souvent une source de division. Ce n’était pas le cas partout, mais cette mentalité commençait à prendre trop d’ampleur. Les querelles et les offenses devenaient de plus en plus fréquentes, que ce soit lors des tournois de basketball et de volleyball aux États-Unis ou des tournois de hockey au Canada.
J’ai grandi en jouant au baseball, au football américain et au basketball. Je courais aussi le 400 mètres dans l’équipe d’athlétisme de mon école et j’ai suivi des cours de natation, ce qui m’a permis de participer aux camps d’été de l’Église. Il était naturel pour moi d’être un grand supporter de ces événements sportifs. Mais au fil du temps, je fus déçu par les fruits que je vis dans les dernières années du programme YOU. Tout n’était pas mauvais, mais de mauvais fruits étaient visibles.
J’ai également été un grand soutien du programme éducatif d’été, ayant servi pendant neuf ans au camp d’Orr, dans le Minnesota, et un an à Big Sandy, au Texas. Il est difficile de surestimer la valeur de cette expérience, en particulier les années passées sous la direction de Kermit Nelson, de 1987 à 1994.
Un nouveau départ
Lorsque j’ai rejoint l’Église Mondiale de Dieu, au début de l’année 1995, il m’a été demandé de participer à la mise en place d’un programme de camps d’été sous la direction de M. Roderick Meredith, alors évangéliste en charge. Notre premier camp se déroula au lac des Ozarks, dans le Missouri, et de nombreux campeurs considérèrent que ce fut un grand succès, mais ce n’était pas le cas d’un point de vue administratif. Les membres d’encadrement n’avaient pas été mis à l’essai et n’avaient pas été formés. Pour remédier à ce problème, nous avons commencé à former et à évaluer ceux en âge de fréquenter l’école secondaire afin de sélectionner de futurs responsables.
Après que Dieu eut purgé l’Église de certains ministres et membres déloyaux dans l’Église Mondiale de Dieu, M. Lambert Greer et moi-même fûmes chargés de superviser le premier camp de l’Église du Dieu Vivant en 1999. Avec MM. Jonathan McNair, Paul Shumway et d’autres, nous avions tiré les leçons du passé et nous commençâmes à développer une nouvelle approche qui éviterait les écueils des activités et des programmes précédents. Nous avons reconnu que « personne ne met du vin nouveau dans de vieilles outres » (Luc 5 :36-39).
Au cours d’une réunion du Conseil des Anciens, en août 2000, j’ai présenté une vision pour une nouvelle approche, reconnaissant notamment que certaines initiatives antérieures n’avaient pas produit les résultats escomptés. Sans nous en rendre compte et avec les meilleures intentions du monde, nous avions essayé que « les jeunes restent dans l’Église » en leur proposant des activités passionnantes pendant quelques semaines. Pendant les trois semaines à Orr, l’accent était mis sur l’aspect physique. Nous disposions d’installations et de programmes de qualité : ski nautique, escalade, canoë-kayak, basketball, volleyball, softball, natation, waterpolo, parachute ascensionnel et bien d’autres activités. Je n’ai pas de doute sur le fait que beaucoup d’adolescents associaient le sport et l’amusement à « la voie de Dieu qui fonctionne ». Mais que se passe-t-il lorsque le divertissement cesse ?
Ce programme éducatif était insuffisant en ce qui concerne le travail mental et spirituel. Ces points n’étaient pas totalement négligés, mais ils passaient clairement pour des choses secondaires dans l’esprit de nos adolescents. Par exemple, pendant les trois semaines du programme, nous avions eu seulement quatre sessions courtes de vie chrétienne : « Votre rapport aux règles », « Votre rapport à l’argent », « Votre relation avec les autres » et « Votre relation avec Dieu ». Il y avait des assemblées du sabbat et des études bibliques, mais il y avait un désir conscient et explicite de ne pas avoir un « camp religieux ». Il y avait clairement une intention de promouvoir des valeurs divines, mais il y avait aussi le désir d’éviter d’être « trop religieux ».
Malgré cela, beaucoup de bonnes choses sont sorties de ces programmes éducatifs d’été. Bien que j’aie grandi en participant à des sports d’équipe dès mon plus jeune âge, ma première année de travail à Orr m’a ouvert les yeux. Je n’avais jamais vu d’activités aussi bien gérées. J’ai beaucoup appris sur la manière de les conduire avec succès. Entre 1983 et 1999, j’ai travaillé sous la direction de quatre directeurs de camp différents et j’ai beaucoup appris au sujet de ce qui fonctionne ou non. Au fil des ans, j’ai eu le privilège de travailler avec des hommes et des femmes remarquablement talentueux et intelligents.
En ce qui concerne l’histoire des programmes de l’Église pour la jeunesse, il apparaissait clairement que les gens apprennent à apprécier les activités dans lesquelles ils investissent du temps et de l’énergie. C’est bien mieux lorsqu’ils sont personnellement impliqués. Nos jeunes sont mieux servis lorsqu’ils apprennent à donner en retour à l’Église. Les jeunes adultes et les adolescents les plus âgés qui apprennent aux autres les valeurs du programme sont beaucoup plus susceptibles d’y adhérer eux-mêmes. Combien de fois ai-je entendu dire, lors d’une réunion matinale des moniteurs, à quel point les adolescents d’aujourd’hui étaient « différents » de ce qu’eux-mêmes étaient à leur âge. Oui, il peut y avoir quelques différences, mais dans la plupart des cas, ces conseillers ne réalisaient pas à quel point c’est eux qui avaient changé. Des valeurs qui n’étaient pas importantes à leurs yeux quelques années auparavant faisaient désormais partie de leur personnalité. Comme l’a dit à juste titre M. Lambert Greer, les valeurs que nous enseignons aujourd’hui ne seront pas intériorisées avant plusieurs années.
Nous sommes conscients que tous les jeunes n’accepteront pas ce qui leur est proposé. Nous connaissons la parabole du fils prodigue : deux garçons qui furent élevés dans la même famille, l’un choisit la bonne voie, mais l’autre pris le chemin de l’autodestruction. Le second fils finit par se repentir et par apprendre la bonne voie, mais entre-temps, il avait été marqué et abîmé, il avait dilapidé son héritage et enduré de nombreuses souffrances. Malheureusement, il en sera de même pour certains de nos enfants.
Une mission et un objectif
Après avoir discuté de l’histoire des programmes pour les jeunes dans l’ère moderne de l’Église de Dieu, j’aimerais partager avec vous certains des principes que nous rétablissons pendant l’orientation des membres d’encadrement de nos camps. Un des premiers points abordés est de rappeler notre mission, formulée au cours des premières années de notre programme pour la jeunesse : « Rassembler les adolescents dans un environnement d’apprentissage, dans le but de retrouver les vraies valeurs et de favoriser la création d’une culture de pureté, d’honneur et de respect parmi les jeunes au sein de l’Église du Dieu Vivant. »
Nous appliquons les mêmes principes dans toutes nos initiatives à l’attention des adolescents et des jeunes adultes, dont l’Éducation vivante, ici à Charlotte. Qu’espérons-nous accomplir ? Voici comment nous exprimons notre objectif en une phrase : « Nous espérons que cette culture de pureté, d’honneur et de respect conduira à des relations pieuses qui aboutiront à leur tour à des mariages aimants et à des familles solides qui assureront la stabilité et la direction à venir de l’Église du Dieu Vivant et de la société dans son ensemble. »
Cette mission (cet objectif) doit être expliquée en détail. Qu’entendons-nous par une culture de pureté ? Toutes nos activités doivent avoir lieu dans cette optique. Si vous ne savez pas dans quelle direction vous allez, il est probable que vous n’arriverez pas là où vous le souhaitiez. La première loi du succès est d’avoir un but. Nous devons avoir une vision de ce que nous espérons obtenir en fin de compte. Dans ce cas, notre objectif est nos enfants. Si nous espérons avoir de jeunes adultes qui reflètent le mode de vie de Dieu, nous devons commencer à créer l’atmosphère rendant possible ce résultat final.
Une culture est partagée par les membres d’un groupe et la pureté est le mode de vie divin. Toutes les générations naissent dans un monde dirigé par Satan (Éphésiens 2 :1-2). Nous devons renforcer les valeurs divines, ces mêmes valeurs que les parents, dans l’Église, veulent voir chez leurs enfants. Une culture selon Dieu est entretenue lorsqu’un nombre croissant de jeunes commence à intérioriser ces valeurs. Ensuite, lorsqu’ils côtoient d’autres jeunes de l’Église, par exemple pendant la Fête des Tabernacles, ils peuvent trouver d’autres personnes qui s’efforcent de vivre selon les mêmes valeurs culturelles de pureté.
Qu’entendons-nous en parlant d’honneur ? Il s’agit d’un code de conduite profondément enraciné, comme ce fut le cas pour Joseph lorsqu’il fut tenté par la femme de Potiphar (Genèse 39).
Nous espérons que nos jeunes créeront une culture dans laquelle ils vivront, pour leur propre bien, selon un code d’honneur composé de valeurs divines de pureté et d’une vie fondée sur le respect des autres, qu’il s’agisse des parents, des personnes âgées, d’eux-mêmes ou de n’importe qui d’autre. Je dis souvent avec force : « Vous, les filles, exigez le respect de la part des garçons ! Ne les laissez pas vous convaincre de faire quelque chose que vous regretterez plus tard. Respectez-les aussi dans votre façon de vous habiller. Vous, les garçons, le véritable amour est de se préoccuper des autres. Respectez ces jeunes filles. Ne souillez pas la future femme de votre meilleur ami ! » C’est assez brusque et direct, mais ils doivent entendre ces instructions à une époque où les gens ne respectent plus les autres et ne se préoccupent plus d’eux.
Organiser un camp en toute sécurité
Il est également important de souligner à notre personnel d’encadrement que ces enfants ne sont pas les nôtres. Les parents envoient leurs enfants au camp avec l’espoir raisonnable qu’ils en reviendront sains et saufs. Il est de notre devoir de faire tout ce que nous pouvons pour protéger ces enfants de toute forme de préjudice physique ou émotionnel.
Nous planifions intentionnellement les camps d’été pour les adolescents comme un programme très structuré avec peu de temps libre. Cela signifie que nous attendons des campeurs qu’ils soient présents à certains endroits et à certaines heures, selon un programme bien établi. Tout doit être fait de manière convenable, sans confusion, dans l’ordre et dans la paix (1 Corinthiens 14 :33, 40). Nous expliquons à notre personnel comment accomplir cela concrètement. Trois règles fondamentales s’appliquent à la plupart des situations : ne pas se blesser, ne pas blesser les autres et ne pas abîmer les choses. Nous nous efforçons de mettre un terme à toutes les farces et aux mauvaises plaisanteries, car elles ont tendance à s’intensifier et, tôt ou tard, quelqu’un est blessé ou quelque chose est cassé.
Les campeurs ne choisissent pas avec qui ils s’asseyent pendant les repas et nous mélangeons les places à chaque occasion. Nous leur apprenons à se présenter et à parler avec tout le monde. Quand ils ont terminé leur assiette, nous leur demandons de ne pas s’en aller pour parler à quelqu’un d’autre. Lorsque les campeurs sont autorisés à s’asseoir avec leurs meilleurs amis à chaque repas, des clans finissent par se former et certains se retrouvent exclus de ces groupes. Les règles du réfectoire sont un des moyens par lesquels nous encourageons le principe de l’intérêt général : personne ne doit être mis à l’écart.
Le même principe s’applique aux « sessions » de fraternisation. Cette activité a lieu deux fois par jour. Ce n’est pas le moment de jouer à cacher la casquette d’un campeur plus jeune, ni de passer du temps en couple avec son petit ami ou sa petite amie ; c’est le moment de parler avec les uns et les autres. Bien que nous les incitions à aller vers les autres, c’est un choix que chacun doit faire. Nous encourageons tout particulièrement les campeurs à aller vers ceux qui sont seuls ou timides, afin de les intégrer au groupe. Beaucoup prennent cette recommandation à cœur. C’est également la raison pour laquelle nous avons des accompagnateurs plutôt que des partenaires pour les soirées dansantes, car les campeurs sont encouragés à se mélanger et à aller vers les autres une fois qu’ils arrivent à la soirée dansante.
Nous comprenons le désir des adolescents de se mettre en couple et nous espérons qu’ils finissent par trouver la personne spéciale avec laquelle ils partageront leur vie. Mais il y a un temps et un lieu pour tout. Le camp n’est pas le moment pour nouer de telles relations. Les adolescents ne sont pas prêts à envisager le mariage et s’engager prématurément dans une relation ne leur apportera que des problèmes. Accepter ces rapprochements irait à l’encontre de l’apprentissage et de la pratique consistant à se préoccuper de tous. Nous attendons des membres d’encadrement qu’ils montrent l’exemple. Le moral de tout le camp peut souffrir de l’égocentrisme de quelques-uns.
Nous ne nions pas le fait que des individus auront des amitiés plus étroites avec certains qu’avec d’autres. Jésus Lui-même était particulièrement proche de Son disciple Jean (voir Jean 13 :23 ; 19 :26 ; 20 :2), mais nous mettons l’accent sur le fait que personne ne se sente exclu. N’est-ce pas là un principe biblique, illustré par les instructions du Christ concernant les personnes à inviter à dîner (Luc 14 :12-14) ?
Le facteur “cool”
Lorsque les gens essaient d’être « cool », ils ne pensent qu’à eux-mêmes. Lorsque tout le monde essaie de se démarquer des autres, vous obtenez un camp rempli d’individus égocentriques, où une partie des individus est populaire tandis que les autres essaient de s’intégrer tant bien que mal. En empêchant les tendances à la mode de se développer, vous réduisez le facteur « cool » et la pensée égocentrique. Vous encouragez ainsi le fait de penser au bien-être des autres.
Nous nous efforçons de donner quotidiennement à tous les campeurs un certain degré de réussite. Cela n’est possible que si les membres d’encadrement leur accordent une attention personnelle et individualisée. Ils doivent être vigilants et trouver des moyens d’aider chaque campeur à améliorer au moins une compétence. Nous encourageons le fait « d’ensoleiller quotidiennement la journée de quelqu’un d’autre ». Chaque campeur doit se coucher le soir avec la certitude et le sentiment d’être respecté, aimé et valorisé en tant qu’individu. Le personnel d’encadrement doit avoir une attitude de dirigeant serviteur à tout moment.
Un effet boule de neige
Alors que le monde exerce une pression négative sur les adolescents, nous nous efforçons au contraire d’exploiter le pouvoir de la pression positive exercée par les pairs. Nous voulons que les jeunes se sentent en sécurité, sachant que personne ne se moquera d’eux lorsqu’ils prieront, chanteront et parleront de Dieu ou de Ses valeurs – des choses qui pourraient être inconfortables à réaliser dans un autre contexte.
Bien qu’il y ait des activités physiques, ce n’est pas un camp sportif. C’est un camp de l’Église et nous revendiquons le fait d’enseigner les valeurs et les doctrines bien établies de l’Église du Dieu Vivant. Nous organisons des cours de vie chrétienne au début de chaque journée d’activité, c’est « la priorité des priorités. » Puis, la soirée se termine en chantant quelques cantiques et en écoutant une brève histoire transmettant une leçon qui reflète les valeurs d’honnêteté, de courage et de compassion.
La confiance est une nécessité absolue pour les membres du personnel. Nous commettons tous des erreurs, mais si nous ne pouvons pas faire confiance à quelqu’un pour respecter les valeurs, les traditions et les règles du camp, il devient extrêmement difficile, voire impossible, de travailler ensemble. Le pouvoir de l’exemple a une importance essentielle. Chaque membre du personnel sera un exemple. La seule question est de savoir quel type d’exemple : bon ou mauvais ?
Nous reconnaissons que certaines personnes ne seront pas à la hauteur de nos espoirs et de nos attentes. De plus, nous commettons aussi des erreurs et un camp n’est jamais parfait. Cependant, je voulais partager avec vous, dans les grandes lignes, l’historique des camps d’été de l’Église de Dieu, ainsi que certains des principes et mécanismes importants que nous utilisons pour créer une atmosphère de pureté, d’honneur et de respect, reflétant un esprit de sollicitude envers les autres.
Il ne faut pas sous-estimer la valeur de quelques individus courageux et compatissants. Jésus donna les paraboles du levain et du grain de sénevé. Des débuts très humbles peuvent devenir de grandes choses (Matthieu 13 :31-33). Nous ne devons pas mépriser « le temps des petits commencements » (Zacharie 4 :10, Martin). L’effet boule de neige est un cercle vertueux, présentant une croissance exponentielle. Grâce aux programmes pour les jeunes, nous espérons développer une culture divine en constante expansion parmi les jeunes de l’Église de Dieu.