Qui est pour l’Éternel ?
Lorsque Moïse reçut les Dix Commandements de Dieu au mont Sinaï, peut-être s’attendait-il à être « reçu en héros » à son retour dans le camp d’Israël. Mais ce n’est pas ce qui se produisit. Au lieu d’avoir une réunion heureuse avec une nation reconnaissante, il fut choqué de voir les enfants d’Israël danser et faire la fête autour d’un veau d’or. Les enfants d’Israël s’étaient engagés à adorer et à révérer Dieu seul. Ils avaient solennellement promis de laisser leurs voies pécheresses et idolâtres derrière eux, mais désormais ils avaient gravement déshonoré cette alliance.
Dans le flot des événements qui s’enchaînèrent, ce qui ressort est le défi que Moïse lança à toute la congrégation de déclarer où se trouvait leur loyauté. Ce récit est rapporté dans l’Exode :
« Moïse vit que le peuple était livré au désordre, et qu’Aaron l’avait laissé dans ce désordre, exposé à l’opprobre parmi ses ennemis. Moïse se plaça à la porte du camp, et dit : À moi ceux qui sont pour l’Éternel ! Et tous les enfants de Lévi s’assemblèrent auprès de lui » (Exode 32 :25-26).
Moïse mit au défi les enfants d’Israël d’examiner leurs priorités. Ce n’était pas le moment d’être indécis ou de « ménager la chèvre et le chou », ils devaient décider s’ils étaient pour l’Éternel ou non.
De nos jours, ce défi est tout aussi important pour chacun d’entre nous. Notre monde est de plus en plus polarisé et il est très tentant de prendre parti pour un camp ou un autre, y compris en politique.
Chaque année à la Fête des Trompettes, la vue d’ensemble nous est rappelée : Jésus reviendra sur la Terre en tant que Roi conquérant. Lorsque Son Royaume régnera sur la Terre, Ses serviteurs embrasseront Sa cause et ils combattront pour établir Son règne. Le livre de l’Apocalypse nous donne un aperçu de cet événement :
« Puis je vis le ciel ouvert, et voici, parut un cheval blanc. Celui qui le montait s’appelle Fidèle et Véritable, et il juge et combat avec justice […] Les armées qui sont dans le ciel le suivaient sur des chevaux blancs, revêtues d’un fin lin, blanc, pur » (Apocalypse 19 :11, 14).
Le Christ et les saints régneront sur la Terre pendant mille ans (Apocalypse 20 :4, 6), puis le Jugement du grand trône blanc commencera. Afin de lutter contre le chaos et les combats de rue que la polarisation grandissante a apporté, même dans les régions les plus « paisibles » de notre monde, nous devons nous focaliser sur cette cause : l’établissement du Royaume de Dieu.
Cependant, ce Royaume n’est pas encore établi. Comment résister aux pressions qui essaient de nous attirer vers les causes de ce monde ? Comment nous assurer que nous sommes pour l’Éternel ?
Conservateurs, libéraux ou chrétiens ?
En tant que membres de l’Église de Dieu, nous partageons parfois des idées conservatrices sur certains sujets. Pour d’autres sujets, nous partageons plutôt des valeurs libérales. Cependant, les militants politiques conservateurs ou libéraux, de droite ou de gauche, sont souvent consternés de découvrir que les membres de l’Église de Dieu sont apolitiques et qu’ils ne s’impliquent pas dans la politique.
Dans de nombreux pays occidentaux, beaucoup de gens ne supportent pas le fait que nous ne votions pas. Pourquoi nous abstenons-nous de voter ? Car aucun parti politique ne possède la réponse adéquate et Dieu seul place les dirigeants à leur poste d’autorité (Daniel 2 :21 ; 4 :17, 25). Que faire si la volonté de Dieu est d’amener au pouvoir tel ou tel dirigeant pour accomplir Son dessein et que nous votions contre ce candidat ? Nous pourrions aller à l’encontre de la volonté de Dieu en glissant notre bulletin dans l’urne.
Nous ne devons pas nous laisser emporter par le faux argument disant que s’impliquer dans la politique fait partie de nos devoirs chrétiens. C’est tout le contraire. Notre devoir chrétien est de soutenir la cause de Dieu et de ne pas prendre parti pour des forces politiques humaines.
Les membres de l’Église de Dieu pourraient-ils être amenés dans le futur à endurer des pressions accrues pour être politiquement actifs ? Tout à fait ! Cela a déjà eu lieu dans le passé. Certains de nos frères et sœurs ont subi des pressions énormes pour s’impliquer dans des causes locales et des conflits. Il y a quelques décennies, un de nos membres fidèles vivait dans une région en proie à des luttes insurrectionnelles contre le pouvoir gouvernemental. Ce membre était poussé par les deux camps à les rejoindre dans le conflit armé et une de ces forces étaient une milice « chrétienne ». Cet homme affronta une situation très dangereuse sur le plan personnel et financier, car il avait une entreprise locale florissante. Après avoir pris conseil auprès de son pasteur et avoir été affermi par l’avertissement du Christ disant que « tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée », il décida de résister à toutes les pressions et à mettre sa confiance en Dieu. Celui-ci le bénit et le protégea, ainsi que sa famille et, jusqu’à ce jour, il continue à servir comme dirigeant et ministre dans l’Église.
Dans son cas, les pressions n’étaient pas théoriques ou hypothétiques. Il ne fait aucun doute que d’autres ont traversé des situations similaires. Comment réagirions-nous si vous ou moi nous étions la cible de telles pressions ? Pourrions-nous nous laisser emporter à soutenir de mauvaises causes ?
Se battre pour réarranger les chaises
Lorsque des individus se démènent pour soutenir une cause perdue, ils ne font que « réarranger les chaises longues du Titanic ». Peu importe comment vous réarrangerez les chaises sur le pont du Titanic, il coulera de toute façon. Autrement dit, nous ne devrions pas dépenser notre temps pour des choses futiles.
Cependant, de nos jours, non seulement les groupes politiques réarrangent ces chaises longues, mais ils se battent sur leur position. Voulons-nous vraiment nous laisser emporter dans cela ? Ou voulons-nous choisir une troisième option et quitter le navire avant qu’il ne sombre ? Si nous faisons le parallèle entre notre monde et le Titanic, le peuple de Dieu a quitté le navire depuis bien longtemps (1 Jean 2 :15). Ce monde, ce navire, est en train de couler. C’est le monde de Satan, bâti sur la convoitise, la cupidité et l’orgueil – des attitudes pécheresses qui conduisent à l’autodestruction. Lorsque nous avons été baptisés, nous avons pris la décision de sortir de ce monde et d’être différents (Apocalypse 18 :4). Nous avons tourné le dos au monde et nous nous efforçons de suivre fidèlement Dieu et Sa cause. Nous ne devrions pas nous battre à propos de ce qui se trouve à bord du navire puisque nous l’avons déjà quitté.
Mais est-ce là tout ce qu’il faut faire ? Quitter le navire et ne jamais regarder en arrière ? Dieu nous a-t-Il seulement appelés pour nous sauver nous-mêmes ? Ou sommes-nous supposés de nous investir dans l’effort pour aider les autres à quitter également le navire ? Dieu ne veut pas que nous nous focalisions sur nous-mêmes et sur notre salut, mais plutôt sur le fait d’aider les autres – en assistant ceux qu’Il appelle à quitter ce monde. Nous devons être la « lumière du monde » qui brille dans les ténèbres, apportant la lumière et l’espérance à ceux qui sont prêts à la voir (Matthieu 5 :14).
C’est ce que l’Œuvre de Dieu fait de nos jours. Le Royaume de Dieu n’est pas encore établi sur la Terre, nous en ferons partie lorsque le Christ reviendra. De nos jours, cette cause consiste à annoncer et à préparer le monde pour l’établissement de ce Royaume. Nous faisons partie de l’Œuvre que le Christ accomplit en sauvant ceux qui entendent le message, qui y répondent et qui se repentent. Nous vivons également en tant que témoignage de la voie, de la vérité et de la puissance de Dieu.
Pourrait-il y avoir une cause plus importante ?
Motivés pour une cause
De nos jours, de plus en plus de gens sont remplis de zèle politique pour soutenir une cause ou une autre, car ils considèrent que celle-ci est cruciale pour la survie de leur groupe ou de leur nation. Ils considèrent que leur cause requiert du dévouement, de l’implication et des efforts soutenus.
Qu’en est-il de nous ? Sommes-nous zélés pour l’Œuvre de Dieu comme certaines personnes le sont pour des causes politiques humaines ? Lorsque Jésus était sur cette Terre, Il était motivé par le fait d’accomplir Son travail. C’est ce qui Le faisait avancer. C’est ce qui donnait du sens et un but à Sa vie. Il l’expliqua de cette manière : « Ma nourriture est de faire la volonté de celui qui m’a envoyé, et d’accomplir son œuvre » (Jean 4 :34).
L’attitude de Jésus n’était pas d’attendre ou d’être paresseux, mais de se focaliser sur l’accomplissement de l’Œuvre de Dieu et de le faire sur le champ, sans perdre de temps. Il mit clairement l’accent sur cet aspect lorsqu’Il dit à Ses disciples : « Ne dites-vous pas qu’il y a encore quatre mois jusqu’à la moisson ? Voici, je vous le dis, levez les yeux, et regardez les champs qui déjà blanchissent pour la moisson » (verset 35).
Il expliqua aussi que personne ne vit ni ne travaille seul, isolé des autres. Nous suivons tous une voie qui a été tracée par d’autres avant nous. Il expliqua l’Œuvre de cette manière : « Car en ceci ce qu’on dit est vrai : L’un sème, et l’autre moissonne. Je vous ai envoyés moissonner où vous n’avez pas travaillé ; d’autres ont travaillé, et vous êtes entrés dans leur travail » (versets 37-38). Comme beaucoup d’entre vous, j’ai personnellement bénéficié de l’implication de nombreux membres fidèles de l’Église dans l’Œuvre de Dieu sous M. Herbert Armstrong, dans les années 1930 et 1940. Mes parents ont été appelés suite au zèle et au soutien fidèle de ces membres de l’Église au puissant ministère de M. Armstrong.
Qu’en est-il de vous ? Quand avez-vous connu la vérité ? Qui a travaillé pour rendre possible votre apprentissage de la vérité ? Ce sont des questions importantes que nous devons nous poser alors que nous nous impliquons nous-mêmes à rendre disponibles ces mêmes vérités pour les autres.
Avec l’aide de Dieu, nous accomplirons Son Œuvre et nous accomplirons Sa volonté. Nous avons tant à faire et il y a tellement de personnes à atteindre ! L’Église elle-même a été formée pour accomplir l’Œuvre, elle existe pour annoncer la venue du Royaume de Dieu et pour y préparer le monde.
De quelle manière pouvons-nous spécifiquement être plus impliqués dans la cause de prêcher l’Évangile et de préparer le monde pour le retour de Jésus-Christ ?
Veiller et prier
Nous avons reçu l’ordre de « veiller », ou de surveiller, alors que la fin de cette ère approche à grands pas. Il est essentiel de surveiller les événements mondiaux et de se tenir au courant de ce qui se passe sur la scène mondiale. Que ce soit au moyen de la presse écrite, de la radio, de la télévision ou d’Internet, nous devons nous tenir au courant. M. Roderick Meredith montra l’exemple pendant des décennies, en mentionnant souvent des événements d’actualités dans ses cours ou dans ses sermons.
Mais comment nous assurer que nous comprenons bien ces événements mondiaux et que nous ne nous laissons pas emporter par l’avalanche des actualités ? Comment éviter de tomber dans un parti pris politique à cause de la source médiatique que nous utilisons ? Nous savons que, de nos jours, beaucoup d’organismes de presse sont extrêmement partiaux et essaient de faire accepter une certaine idéologie politique.
Luc 21 apporte la réponse. Après avoir averti Ses disciples des « excès du manger et du boire, et [des] soucis de la vie » (verset 34), Jésus leur dit : « Veillez donc et priez en tout temps, afin que vous ayez la force d’échapper à toutes ces choses qui arriveront, et de paraître debout devant le Fils de l’homme » (verset 36).
Comment pouvons-nous rester équilibrés dans notre approche vis-à-vis des actualités que nous ingérons ? Nous ne devons pas seulement passer du temps à nous tenir au courant, de façon plus importante, nous devons consacrer du temps à la prière, en parlant avec Dieu. Lorsque nous nous adressons à Lui à propos de ces événements, nous nous rappelons ce qu’Il accomplit en coulisses. Nous songeons aux prophéties qu’Il est en train d’accomplir. Nous Lui demandons de guider les efforts de l’Œuvre afin d’atteindre davantage de gens sans espoir qui cherchent des réponses. Et nous sommes encouragés lorsque nous considérons la manière dont Il appelle des gens actuellement et que chaque être humain sera appelé en son temps. Il met en œuvre un plan magistral et Son Royaume remplacera tous les royaumes en apportant une paix durable à un monde troublé.
Considérons aussi le temps que nous passons à veiller et celui que nous passons à prier. Si nous passons des heures à suivre les actualités, mais seulement quelques minutes à prier, nous devrions peut-être réévaluer la façon dont nous utilisons notre temps.
Supporter la cause financièrement
Il est important que nous soutenions l’Œuvre de Dieu en argent comme en paroles. Jésus a dit :
« Ne vous amassez pas des trésors sur la terre, où la teigne et la rouille détruisent, et où les voleurs percent et dérobent ; mais amassez-vous des trésors dans le ciel, où la teigne et la rouille ne détruisent point, et où les voleurs ne percent ni ne dérobent » (Matthieu 6 :19-20).
Dieu fournira ce dont Son Œuvre a besoin. Il a dit que tout l’or et l’argent Lui appartiennent. Mais Il travaille au travers des individus. Notre Père n’est pas limité en ressources et nous sommes les bénéficiaires lorsque nous plaçons notre cœur dans Son Œuvre. Il pourrait même utiliser des pierres pour accomplir cette Œuvre (Matthieu 3 :9 ; Luc 3 :8), mais Il a choisi de nous donner le privilège d’avoir notre part à jouer. Nous sommes bénis lorsque nous faisons partie de Son Œuvre et nous en retirons de la joie. Il prend soin de nous. Placer notre cœur dans l’Œuvre implique de verser avec fidélité notre dîme et nos offrandes.
Soutenir l’aspect local de la cause
À travers le monde, les membres de l’Église du Dieu Vivant sont unis pour soutenir cette cause. Les membres soutiennent le siège central et ils aident aussi à soutenir le ministère local. Ils aident à la tenue des assemblées de sabbat. Ils se soutiennent et s’encouragent les uns les autres. Avec l’accord du siège central, certains apportent personnellement les enregistrements des émissions à des stations radiophoniques ou télévisées locales, d’autres contribuent à l’organisation des Conférences du Monde de Demain. Beaucoup partagent sur les réseaux sociaux les émissions télévisées postées sur YouTube, les Points de vue, les tableaux blancs, les articles et les sermons. D’une manière ou d’une autre, ils sont directement impliqués dans l’Œuvre.
Nous devons songer à ce que nous pouvons faire personnellement dans nos interactions avec les autres, dans notre voisinage, au travail et dans notre quartier. Historiquement, beaucoup de frères et sœurs ont été appelés au travers de contacts personnels ou familiaux. Nous ne devons pas avoir peur de briller comme des lumières et d’avoir des convictions, afin que les autres voient qui nous sommes et ce que nous soutenons.
Cela ne nous empêche pas de soutenir les émissions télévisées et la revue du Monde de Demain, les différents aspects de nos campagnes Internet et les autres efforts dans les médias. Dans ce monde, les efforts médiatiques sont très efficaces, probablement le moyen le plus efficace de faire parvenir un message au maximum de personnes. Dieu ouvre de nouvelles portes afin d’accomplir précisément cela.
Cependant, notre contribution personnelle au niveau local est essentielle. Comme n’importe quelle autre cause dans le monde, le support au niveau local est crucial. Notez ce que Paul écrivit à propos de l’importance de chaque membre dans le fonctionnement du corps :
« Par la grâce qui m’a été donnée, je dis à chacun de vous de n’avoir pas de lui-même une trop haute opinion, mais de revêtir des sentiments modestes, selon la mesure de foi que Dieu a départie à chacun. Car, comme nous avons plusieurs membres dans un seul corps, et que tous les membres n’ont pas la même fonction, ainsi, nous qui sommes plusieurs, nous formons un seul corps en Christ, et nous sommes tous membres les uns des autres » (Romains 12 :3-5).
Certaines des fonctions du corps sont des rôles dans le ministère, mais ce n’est pas la majorité. Alors que les besoins se font sentir, le service de chacun est essentiel d’une manière ou d’une autre pour soutenir la prédication de l’Évangile localement et à travers le monde. Ensemble, alors que nous servons Dieu et Son Église, nous offrons notre vie comme un « sacrifice vivant », comme Paul l’a expliqué dans Romains 12 :1.
Notre cause, notre bannière
Avant même que les Israélites aient atteint la base du mont Sinaï et qu’ils aient commis l’idolâtrie dont nous avons parlé au début, un autre événement notable eut lieu. Des groupes hargneux d’Amalécites avaient attaqué la congrégation d’Israël et Moïse avait envoyé Josué pour les combattre. Les Écritures nous rapportent le récit inspirant de la façon dont Dieu défendit Son peuple lorsque celui-ci en avait besoin et elles nous donnent une compréhension claire et précise de là où devrait se trouver notre loyauté.
« Lorsque Moïse élevait sa main, Israël était le plus fort ; et lorsqu’il baissait sa main, Amalek était le plus fort. Les mains de Moïse étant fatiguées, ils prirent une pierre qu’ils placèrent sous lui, et il s’assit dessus. Aaron et Hur soutenaient ses mains, l’un d’un côté, l’autre de l’autre ; et ses mains restèrent fermes jusqu’au coucher du soleil » (Exode 17 :11-12).
Les serviteurs de Dieu soutenaient les bras de Moïse, tout comme nous « soutenons les bras » de nos dirigeants actuels. Puis Moïse bâtit un autel pour honorer la délivrance de Dieu. Notez comment il appela cet autel : « Moïse bâtit un autel, et lui donna pour nom : l’Éternel ma bannière » (Exode 17 :15).
De nos jours, les gens s’enthousiasment pour de nombreux slogans. Vous les trouvez sur des casquettes et des t-shirts, sur les réseaux sociaux, ou bien au cours d’événements sportifs et de meetings politiques. Tous ces slogans sont des marques pour les causes de ce monde. Mais quelle cause soutenons-nous ? Quelle bannière brandissons-nous ? Sommes-nous pour Dieu ? L’Éternel est-Il notre bannière ?
Jésus dit à Ses disciples, dont nous faisons partie, de prêcher l’Évangile au monde en tant que témoignage, en préparation de l’établissement du plus grand des royaumes que le monde ait jamais connus. Il n’y a pas de plus grande cause que celle-ci.