Une façon de mieux connaître Dieu
De temps en temps, nous entendons cette question : « Connaissez-vous le Seigneur ? » La Bible nous dit que dans le Royaume de Dieu, toute la maison d’Israël connaîtra l’Éternel. Dieu fit cette promesse à Israël par la bouche de Son prophète Jérémie :
« Mais voici l’alliance que je ferai avec la maison d’Israël, après ces jours-là, dit l’Éternel : Je mettrai ma loi au-dedans d’eux, je l’écrirai dans leur cœur ; et je serai leur Dieu, et ils seront mon peuple. Celui-ci n’enseignera plus son prochain, ni celui-là son frère, en disant : Connaissez l’Éternel ! car tous me connaîtront, depuis le plus petit jusqu’au plus grand, dit l’Éternel ; car je pardonnerai leur iniquité, et je ne me souviendrai plus de leur péché » (Jérémie 31 :33-34).
Comment la maison d’Israël connaîtra-t-elle Dieu ? Il y a environ 2000 ans, seuls quelques individus en Judée Le reconnurent lorsqu’Il séjourna au milieu d’eux dans la chair. Mais Il déclara à travers Jérémie que lorsqu’Il reviendra, Il mettra Sa loi au-dedans d’eux et qu’Il l’écrira dans leur cœur et Il leur pardonnera.
À l’avenir, Dieu révèlera beaucoup de choses à Son sujet à travers Sa loi et il est important de nous souvenir qu’Il fait déjà cela, actuellement, pour Son Église.
À quel point connaissez-vous Dieu et cherchez-vous à Le connaître ? Nous devrions tous désirer connaître le Père afin de développer une relation avec Lui, et de devenir davantage comme Lui et Jésus-Christ. Une façon de mieux connaître Dieu consiste à faire ce qu’Il enseignera à la maison d’Israël lorsque celle-ci apprendra à Le connaître dans Son Royaume – en étudiant, en mettant en pratique et en intériorisant la loi divine. Malheureusement, la plupart des prétendus chrétiens rejettent cette précieuse méthode.
Étudier les lois bibliques est très utile pour comprendre davantage le caractère et la personnalité de Dieu. Mais ce n’est pas la seule méthode – c’est juste une manière de mieux « connaître le Seigneur » lorsque vous étudiez la Bible.
Des commandements, des lois et des ordonnances
Lorsque Dieu établit la nation d’Israël, Il donna à ses habitants tout ce dont ils avaient besoin physiquement, y compris des lois et des ordonnances remplies de sagesse et basées sur les Dix Commandements. Voyez ce commentaire biblique instructif concernant la source des Dix Commandements :
« La fondation et la source de la loi morale est le caractère de Dieu. Les Dix Commandements sont introduits ainsi : “Je suis l’Éternel, ton Dieu, qui t’ai fait sortir du pays d’Égypte, de la maison de servitude.” Le nom hébreu utilisé ici (Éternel tout-puissant infini) indique clairement que les principes de la loi découlent du caractère de Dieu. “Je suis… vous serez.” Il y a un lien. C’est ce qui rend cette loi morale aussi formidable dans sa majesté immuable. C’est la loi parce que Dieu existe. Elle ne peut pas être changée à moins de changer le caractère de Dieu Lui-même. La justice est ce qu’elle est, car Dieu est ce qu’Il est et, par conséquent, elle est aussi immuable que Dieu » (Unger’s Bible Dictionary, troisième édition, pages 256-257).
Les commandements de Dieu reflètent Son propre caractère et communiquent ce qu’Il définit comme étant bien ou mal, et Dieu ne change pas (Malachie 3 :6 ; Hébreux 13 :8) !
L’organisation biblique de la loi est définie par « les commandements, les lois et les ordonnances » (Deutéronome 7 :11 ; 1 Rois 8 :58). Certains la réorganisent théologiquement en « loi morale, loi civile et loi cérémonielle », et bien que cela puisse être utile dans certains cas, ce n’est pas l’organisation révélée dans la Bible. Les lois (ou les statuts) dérivent des Dix Commandements, ainsi les principes communiqués à travers les lois révèlent plus profondément le caractère de Dieu – la base même du bien et du mal. Les ordonnances mettaient en œuvre les différents aspects des lois au niveau local en Israël.
L’apôtre Paul utilisa un principe de la loi afin d’enseigner les Gentils de l’Église de Corinthe, en Grèce :
« Car il est écrit dans la loi de Moïse : Tu ne muselleras point le bœuf quand il foule le grain [cf. Deutéronome 25 :4]. Dieu se met-il en peine des bœufs, ou parle-t-il uniquement à cause de nous ? Oui, c’est à cause de nous qu’il a été écrit que celui qui laboure doit labourer avec espérance, et celui qui foule le grain fouler avec l’espérance d’y avoir part. Si nous avons semé parmi vous les biens spirituels, est-ce une grosse affaire si nous moissonnons vos biens temporels ? » (1 Corinthiens 9 :9-11).
Bien que cette loi implique de prendre soin des animaux de trait, Paul disait ici que son but principal était d’enseigner une leçon spirituelle à l’Église. Vous n’avez pas besoin de posséder des bœufs pour obéir à ce principe. Notez ce qu’il écrivit : « Dieu se met-il en peine des bœufs, ou parle-t-il uniquement à cause de nous ? Oui, c’est à cause de nous qu’il a été écrit… » Paul disait aux frères et sœurs à Corinthe – et à nous, aujourd’hui – que l’Église a beaucoup à apprendre des lois.
Dans ses instructions à Timothée, Paul proclama aussi la validité et l’importance de la loi et des prophètes. Il écrivit : « Toi, demeure dans les choses que tu as apprises, et reconnues certaines, sachant de qui tu les as apprises : dès ton enfance, tu connais les saintes lettres, qui peuvent te rendre sage à salut par la foi en Jésus-Christ » (2 Timothée 3 :14-15). En se référant aux « saintes lettres », Paul parlait du canon de l’Ancien Testament, puisque celui du Nouveau Testament n’existait pas encore pendant l’enfance de Timothée. Bien que le salut de Timothée vienne de sa foi en Christ, Paul voulait qu’il se souvienne que les commandements, les lois et les ordonnances de Dieu lui enseigneraient une compréhension précieuse et qu’ils le guideraient dans sa croissance spirituelle.
Paul poursuivit en écrivant que « toute Écriture est inspirée de Dieu, et utile pour enseigner, pour convaincre, pour corriger, pour instruire dans la justice, afin que l’homme de Dieu soit accompli et propre à toute bonne œuvre » (versets 16-17). Nous devrions nous souvenir que la loi divine nous fournit la bonne doctrine, les arguments, la correction et l’instruction dans la justice qui sont nécessaires si nous voulons accomplir toute bonne œuvre que Dieu espère de notre part.
Ceux qui rejettent la loi de Dieu se privent de beaucoup de choses !
Bien que nous puissions apprendre de toutes les Écritures, les ordonnances concernaient souvent l’ancienne nation d’Israël sous l’alliance nationale conclue au Sinaï et elles étaient instaurées en tant que lois civiles. Historiquement, l’application des ordonnances en Judée prit fin avec la destruction des restes de l’État juif par les Romains. Par exemple, l’Église de Dieu de nos jours est toujours sous le commandement imposant la fidélité dans le mariage, mais elle n’est plus sous l’ordonnance proclamant la lapidation des personnes adultères !
Toutefois, Dieu déclara que les autres nations verraient la sagesse de Ses lois dans l’ancien Israël et qu’elles chercheraient à les émuler (Deutéronome 4 :5-8).
Les deux grands commandements
Jésus répondit un jour à une question très intéressante :
« Les pharisiens […] se rassemblèrent, et l’un d’eux, docteur de la loi, lui posa cette question, pour l’éprouver : Maître, quel est le plus grand commandement de la loi ? Jésus lui répondit : Tu aimeras le Seigneur, ton Dieu, de tout ton cœur, de toute ton âme, et de toute ta pensée. C’est le premier et le plus grand commandement. Et voici le second, qui lui est semblable : Tu aimeras ton prochain comme toi-même. De ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes » (Matthieu 22 :34-40).
En fait, Jésus se citait Lui-même – Ses paroles ayant jadis été rapportées par Moïse dans Deutéronome 6 :4-5 et Lévitique 19 :18.
Comment « toute la loi et les prophètes » peuvent-ils dépendre de ces deux commandements ?
Jésus ne dit pas que ces deux commandements renient les dix autres. Par exemple, nous ne pouvons pas aimer Dieu de tout notre cœur si nous adorons des idoles et que nous prenons Son nom en vain. Et nous ne pouvons pas aimer les autres comme nous-mêmes si nous les volons ou que nous leur mentons.
Les quatre premiers des Dix Commandements nous apprennent comment aimer Dieu et ils sont résumés par « le premier et le plus grand commandement » – le fait que nous devons aimer Dieu de tout notre être. Les six autres commandements qui expliquent comment aimer tous les êtres humains sont résumés par cette phrase : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même ». Il est intéressant que le cinquième commandement, « Honore ton père et ta mère » (Exode 20 :12), qui se réfère aux relations avec nos parents physiques, fait aussi le lien entre l’action d’aimer notre Père céleste et d’aimer l’humanité.
Les deux grands commandements – aimer Dieu et aimer l’humanité – sont exprimés avec davantage de détails dans les Dix Commandements. Puis les lois découlent de ces Dix Commandements et, généralement, les ordonnances représentaient des applications locales en Israël des principes de ces lois dans le cadre de l’alliance nationale avec Dieu. La loi est un aspect fondamental du gouvernement de Dieu – la mise en pratique de Son amour. Les prophètes étaient la voix de Dieu pour le peuple. Dieu leur ordonnait de communiquer aux habitants d’Israël leurs transgressions des commandements, des lois et des ordonnances, ainsi que Ses appels à la repentance et Ses rappels des termes conclus avec Israël, ainsi que les conséquences liées à la transgression de l’alliance établie avec Lui. Ils devaient aussi communiquer la promesse du gouvernement divin à venir, le Royaume de Dieu, en disant par exemple que « de Sion sortira la loi, et de Jérusalem la parole de l’Éternel » (Ésaïe 2 :3). Le gouvernement de Dieu, basé sur des lois qui expriment Son caractère, se répandra dans le monde entier au cours de son Royaume prophétisé. Nous voyons ainsi pourquoi Jésus déclara que « de ces deux commandements dépendent toute la loi et les prophètes ». Dieu est amour et la loi du gouvernement divin dérive de l’amour pour Dieu et pour l’humanité.
Les lois sont valides de nos jours
Nous avons déjà vu que l’apôtre Paul donna aux Gentils de l’Église de Corinthe l’exemple de l’application d’une loi – ne pas museler un bœuf qui est mis au travail. Voici deux autres exemples de lois qui montrent le caractère de Dieu.
Afin de mettre en pratique le commandement « Tu ne déroberas point », Israël reçut l’instruction suivante : « Vous ne commettrez point d’iniquité ni dans les jugements, ni dans les mesures de dimension, ni dans les poids, ni dans les mesures de capacité. Vous aurez des balances justes, des poids justes, des éphas justes et des hins justes. Je suis l’Éternel, votre Dieu, qui vous ai fait sortir du pays d’Égypte » (Lévitique 19 :35-36). Notez que Dieu estampille cette loi de Son nom en proclamant : « Je suis l’Éternel, votre Dieu. »
Le hin était une mesure pour les liquides, correspondant à environ 6 litres. L’épha faisait environ 35 litres et il servait à mesurer des solides. Avez-vous un hin juste et un épha juste ? Devez-vous posséder physiquement un hin ou un épha afin d’obéir à cette loi ?
Notre Dieu est un Dieu de vérité et Jésus a dit : « Sanctifie-les par ta vérité : ta parole est la vérité » (Jean 17 :17). Sa vérité nous sanctifie, mais la malhonnêteté, la cupidité et la convoitise qui conduisent au vol Lui sont complètement étrangères. C’est pourquoi Dieu interdit le vol et la tromperie sous toutes leurs formes. Cette loi dérive des commandements disant « Tu ne déroberas point » et « Tu ne porteras point de faux témoignage » (Exode 20 :15-16). Notre Dieu est un Dieu d’amour, de vérité et de don – Il donne au lieu de prendre.
Comment pouvons-nous appliquer le principe de cette loi dans notre vie ? À quoi ressemble un « hin juste » de nos jours ? Cela signifie de faire preuve d’honnêteté dans tous nos rapports avec les autres – pas seulement dans les poids et les mesures. Donnons-nous aux gens ce qu’ils achètent vraiment – ou essayons-nous de trouver un moyen de les escroquer ?
Un épha ou un hin malhonnête
À quoi ressemble un épha ou un hin malhonnête de nos jours ? Voici quelques exemples :
- Comment mesurez-vous votre travail ? Si nous sommes au travail pendant 8 heures, nous devrions consacrer à notre employeur les 8 heures de travail pour lesquelles il nous paie – pas seulement 6 heures. Donnez la valeur entière de ce qui est prévu aux autres – Dieu le fait, et il s’agit simplement d’une bonne pratique commerciale. Si nous ne donnons pas la valeur entière de ce pour quoi nous sommes payés, nous prenons de l’argent que nous ne méritons pas. Heureusement, beaucoup d’employeurs sont très satisfaits d’avoir des membres de l’Église travaillant pour eux, car ils ont appris qu’une personne faisant attention à observer fidèlement le commandement du sabbat, fera aussi attention à fournir une journée de travail honnête correspondant à son salaire. Lorsqu’un employeur potentiel objecte et rechigne au sujet de l’observance du sabbat, il peut être utile de lui mentionner ce point.
- Avez-vous déjà travaillé avec quelqu’un prétendant effectuer un bon ouvrage, mais dont la qualité du travail était finalement médiocre ? Comment mesurez-vous la qualité de votre travail ? Fournissez-vous à votre employeur la qualité pour laquelle vous vous étiez engagé(e) ? Notre Dieu fait toujours un travail de qualité et nous devrions suivre Son exemple dans notre ouvrage.
Ce ne sont que deux exemples, mais vous pourrez probablement en trouver d’autres puisque vous connaissez le principe biblique. Notre Dieu est un Dieu de qualité et de vérité.
Voici une autre loi qui nous enseigne une leçon :
« Quand vous ferez la moisson dans votre pays, tu laisseras un coin de ton champ sans le moissonner, et tu ne ramasseras pas ce qui reste à glaner. Tu ne cueilleras pas non plus les grappes restées dans ta vigne, et tu ne ramasseras pas les grains qui en seront tombés. Tu abandonneras cela au pauvre et à l’étranger. Je suis l’Éternel, votre Dieu » (Lévitique 19 :9-10).
Devez-vous être agriculteur pour tirer une leçon de cette loi ? De la même manière que pour la loi au sujet des poids et des mesures, notez que Dieu l’estampille de Son nom : « Je suis l’Éternel, votre Dieu. » Se pourrait-il que cette loi exprime aussi Son caractère ? Étudions cela de plus près.
Un exploitant agricole qui se donne la peine de récolter ses champs ou ses vignes jusqu’au dernier grain de céréale ou de raisin déploie de grands efforts de travail pour un gain minimal. Cela va même faire baisser son rendement, mais il ne veut que personne d’autre puisse profiter de sa récolte. La loi du glanage aidait les pauvres – ceux qui n’ont pas d’autres ressources que leur propre travail – en leur permettant d’utiliser le fruit de leur labeur pour obtenir de quoi manger. Dans l’ancien Israël, Dieu a non seulement établi la loi du glanage pour aider les pauvres, mais aussi pour préserver les exploitants de la cupidité. Les lois de Dieu sont basées sur l’équité et l’honnêteté – pas sur la cupidité. Tout le monde est gagnant !
Comment pouvons-nous appliquer la loi du glanage dans le monde actuel ? Le Dieu d’Abraham, d’Isaac et de Jacob est un Dieu d’amour qui se préoccupe des autres – Son mode de vie consiste à donner, pas à prendre. La cupidité ne fait pas partie de Son caractère. De nos jours, à quoi ressemblerait une personne qui récolterait jusqu’à la moindre graine dans son champ ? Vous avez probablement déjà entendu l’expression « ronger jusqu’à l’os », lorsque des individus essaient de tirer profit au maximum de l’autre partie dans une transaction commerciale. Ils pensent réussir seulement quand l’autre partie commence à souffrir. Mais une personne conduite par la pensée divine sait que les deux parties vont faire des profits sans léser le partenaire. Ne rongez pas tout ce qui est comestible en ne laissant que l’os et rejetez la cupidité ! Nous devons nous méfier de tout désir immodéré de prendre, car cela peut nous conduire à oppresser les autres. Nous pouvons appliquer la loi du glanage de bien des manières dans le monde actuel.
Examiner les lois !
Si vous voulez approfondir votre étude des lois, la plupart d’entre elles se trouvent dans les chapitres suivants :
- Exode 20-24
- Lévitique 16-27
- Nombres 18-19, 27-36
- Deutéronome 12-28
Souvenez-vous que ces chapitres contiennent aussi les lois rituelles, sacrificielles et de purification, que nous n’appliquons plus physiquement de nos jours en raison du sacrifice ultime du Christ (Hébreux 7 :26-28 ; 9 :11-15 ; 10 :6-10). Nous sommes le temple du Christ car le Saint-Esprit de Dieu est en nous (1 Corinthiens 3 :16). L’Église doit être pure (2 Corinthiens 6 :16-17) et « offrir des victimes spirituelles, agréables à Dieu par Jésus-Christ » (1 Pierre 2 :5) dans le cadre de la relation de la nouvelle alliance.
Mais cela ne diminue pas les bénéfices liés à l’étude des lois inspirées par Dieu dans Sa parole. Une façon de profiter spirituellement de ces lois est d’y chercher le caractère de Dieu et de discerner comment ce caractère peut être mis en pratique dans notre vie. Les lois sont très profitables et certaines, comme les poids et les mesures, font même partie des lois civiles modernes. Les principes contenus dans les lois nous permettent de devenir de meilleurs employés, de meilleurs employeurs, de meilleurs commerçants et de ressembler davantage au Christ. Ces lois existent pour notre bien !
La loi de Dieu exprime Son caractère saint et juste. Il donna Ses commandements et Ses lois pour notre bien (Deutéronome 10 :13). Les lois et les commandements de Dieu sont saints, justes et bons – et c’est un des moyens qu’Il a choisis pour se révéler (Romains 7 :12).
Les enfants engendrés de Dieu ne devraient pas se demander : « À quel point dois-je appliquer la loi de Dieu ? » Ils devraient plutôt se poser la question : « À quel point puis-je appliquer la loi de Dieu ? » Nous devons connaître les différentes façons de mettre en pratique la loi de Dieu et d’émuler Son caractère dans notre vie. Le fait de chercher le caractère de Dieu dans Ses lois – et d’appliquer les principes qui régissent ces lois – nous aide à « connaître le Seigneur ».