Si nous nous y attardons un instant, une vérité au sujet de notre foi se démarque des autres de façon remarquable. Le Créateur de toutes choses, Celui qui existait depuis toujours, est devenu chair et sang tout comme nous afin de mourir et de payer l’amende de nos péchés. Son sacrifice fut prophétisé à nos premiers parents (Genèse 3 :15). Il est également représenté par la Pâque, la première des sept Fêtes instaurées par Dieu pour expliquer Son plan de salut (1 Corinthiens 5 :7). Le prix payé à notre place, afin de couvrir nos péchés, devrait nous indiquer la terrible nature du péché. Notre Père veut que nous comprenions pleinement et profondément le lien entre le péché et ses conséquences. Jésus-Christ mena une vie pure et sans péché – une vie d’obéissance aimante et de dévotion inébranlable envers Dieu – et il n’est pas difficile de comprendre qu’un des paramètres ayant permis cela était la compréhension parfaite par notre Sauveur du terrible prix à payer pour les pécheurs. Il connaissait ce prix puisqu’Il s’était engagé dès la fondation du monde à le payer en intégralité (Apocalypse 13 :8). Lorsque nous considérons attentivement les événements clôturant la dernière Pâque du ministère terrestre de Jésus, il y a environ 2000 ans, nous voyons de multiples éléments du prix du péché. Et nous voyons un Sauveur qui était prêt à payer intégralement ce prix pour ceux qu’Il aimait. Prenons le temps d’étudier trois de ces éléments et leur répercussion dans le sacrifice de Jésus. Cherchons à nous approcher de la perspective de Dieu au sujet des conséquences du péché. Le péché provoque la mortLa mort est la conséquence la plus évidente du péché et beaucoup l’associent avec le sacrifice de Jésus-Christ. Les Écritures sont très claires à ce sujet. Romains 6 :23 déclare que « le salaire du péché, c’est la mort ; mais le don gratuit de Dieu, c’est la vie éternelle en Jésus-Christ notre Seigneur ». Chacun d’entre nous mérite ce salaire (Romains 3 :23). La mort est une conséquence naturelle du péché. Jacques, le frère de Jésus, a décrit très clairement le chemin qui mène au péché : « Mais chacun est tenté quand il est attiré et amorcé par sa propre convoitise. Puis la convoitise, lorsqu’elle a conçu, enfante le péché ; et le péché, étant consommé, produit la mort » (Jacques 1 :14-15). Le fait d’être tenté n’est pas un péché – même Jésus-Christ a dû affronter la tentation (Hébreux 4 :15). C’est en partie ce qui fait de Lui notre Souverain Sacrificateur compatissant. Mais Il n’a pas entretenu les pensées que la tentation engendre. S’Il avait commis ne serait-ce qu’un seul péché au cours de Ses 33 années et demie de vie, Lui aussi aurait mérité la mort. Mais Sa mort était destinée à payer notre dette, pas la Sienne. Jésus-Christ, l’Homme le plus innocent qui ait jamais marché sur la Terre fut cloué sur le bois – crucifié comme un criminel méprisé et haï – et Il mourut. Les traductions modernes de la Bible ont tendance à embrouiller les événements exacts qui se sont déroulés, mais un récit précis de Sa mort est rapporté dans les copies les plus anciennes encore existantes du Nouveau Testament. Motivé par des raisons inconnues, mais accomplissant assurément une prophétie, un soldat romain s’approcha du Fils de Dieu – qui était déjà suspendu au bois dans une terrible agonie – et il planta sa lance dans Son côté (Jean 19 :34), en répandant Son sang et en accomplissant ce qui était prédit à Son sujet (versets 35-37). Suite à ce coup de lance, Jésus cria d’une voix forte et Il mourut (Matthieu 27 :50 ; Marc 15 :37 ; Luc 23 :46). Pour ceux qui découvrent le véritable récit de la mort de Jésus, je vous recommande vivement l’article écrit par M. Peter Nathan, « Comment Jésus-Christ est-Il mort ? », publié dans Le Journal de mars-avril 2016. Ce sujet est très important. Nous apprenons dans l’épître aux Hébreux que la rémission de nos péchés a été rendue possible uniquement par le sang que le Christ a versé pour nous (Hébreux 9 :12-14, 22). Mais en quoi ce prix, que Jésus était prêt à payer, nous renseigne-t-il au sujet du salaire du péché ? Le lien profond et inaltérable entre le péché et la mort peut facilement nous échapper dans la vie quotidienne. Lorsque le péché se présente comme une option, il est généralement très tentant. Même la parole de Dieu affirme que choisir le péché peut procurer une satisfaction et un plaisir immédiats – le fait de se sentir bien – mais ce plaisir n’est que temporaire (Hébreux 11 :25). Aussi séduisant que le péché puisse paraître, lorsque nous choisissons cette option, nous choisissons la mort au lieu de la vie. Salomon essaya d’établir ce lien dans le livre des Proverbes en expliquant, par exemple, que la maison d’une femme séductrice et immorale pouvait sembler être une source de plaisir, alors qu’en fait c’est tout le contraire « car sa maison penche vers la mort, et sa route mène chez les morts » (Proverbes 2 :18). Qui voudrait séjourner avec une femme de mauvaise vie s’il voyait l’adultère et la fornication de la même manière que Dieu et s’il percevait sa maison comme étant encombrée de cadavres ? Le prix que Jésus paya en sacrifiant Sa propre vie pour nos péchés établit très clairement ce lien entre la mort et le péché. Cela implique que nous reconnaissions la vérité que la seule mort suffisamment significative pouvant nous libérer de la dette du péché était la mort de l’Éternel par l’intermédiaire de qui tout a été créé. Aucun autre paiement n’aurait été suffisant. Seule la mort de Celui qui existait depuis toujours était suffisante pour payer le prix des péchés de toute l’humanité et pour nous racheter du sort que nous méritons. L’Éternel a dû mourir comme les mortels, afin que les mortels puissent recevoir l’opportunité de vivre éternellement. Aucun autre paiement n’aurait suffi à enlever la malédiction qui s’abat sur nous à cause de nos péchés. Et Il était prêt à payer ce prix. Le péché cause de la souffrance physique, des maladies et des corps meurtrisLa mort du Christ représentait bien davantage que la fin d’une vie. Aux États-Unis, les condamnés à la peine de mort sont exécutés de manière à respecter la dignité humaine, en évitant l’aspect « cruel et insolite ». De nos jours, ces prisonniers reçoivent généralement des injections de produits chimiques destinées à les rendre inconscients, avant de paralyser les muscles afin qu’aucun mouvement spasmodique n’altère la dignité de leur mort, puis de faire cesser leur cœur de battre. Une mort aussi respectueuse est à l’exact opposé de la mort éprouvée par Jésus-Christ. Les Écritures montrent qu’en premier lieu Son corps fut brutalement et douloureusement brisé pour nous. En expliquant le symbole du pain au cours de la nuit de la Pâque précédant Sa mort, Jésus déclara à Ses disciples : « Ceci est mon corps, qui est rompu pour vous » (1 Corinthiens 11 :24). Son corps fut vraiment brisé. Ponce Pilate fit battre de verges Jésus avant Sa crucifixion (Matthieu 27 :26 ; Marc 15 :15 ; Jean 19 :1). La flagellation romaine était une pratique horrible pendant laquelle une personne – généralement déshabillée afin d’exposer son corps et les mains attachées au-dessus de la tête – était fouettée par un ou deux licteurs. L’instrument utilisé était spécialement conçu avec des languettes de cuir de différentes longueurs, agrémentées de petites billes de fer ou d’os saillants d’animaux afin de couper et d’arracher la chair. Dans la célèbre publication de 1986 intitulée « À propos de la mort physique de Jésus-Christ », le Journal de l’Association américaine de médecine décrivait cette flagellation d’un point de vue physiologique : « Alors que les soldats romains frappaient à plusieurs reprises le dos de la victime de toutes leurs forces, les billes de fer causaient des contusions profondes. Les lanières de cuir et les os de mouton coupaient la chair et les tissus sous-cutanés. Puis, alors que la flagellation continuait, les lacérations atteignaient les muscles squelettiques du dessous, en arrachant des lambeaux sanguinolents de chair. La douleur et la perte de sang provoquaient généralement un choc circulatoire » (JAMA, 21 mars 1986, volume 255, n°11). Un tel traitement nous renvoie à la prophétie disant qu’Il fut « un sujet d’effroi, tant son visage était défiguré, tant son aspect différait de celui des fils de l’homme » (Ésaïe 52 :14). De plus, il nous est dit que des soldats romains tressèrent une couronne d’épines qu’ils placèrent sur Sa tête, ils lui crachèrent au visage et ils le frappèrent avec un roseau (Matthieu 27 :29-30 ; Marc 15 :16-19). Si la mort du Christ était le seul objectif, pourquoi aurait-Il dû subir une mort aussi brutale impliquant la lacération de Son corps ? En tant que Son peuple, nous pouvons tirer de nombreux bénéfices de Sa volonté de subir une mort aussi horrible. Par exemple, lorsque nous souffrons, nous pouvons regarder ce qu’Il a traversé avec une foi immense et cela peut nous encourager à affronter nos propres épreuves. Une des clés nous permettant de souffrir dans ce monde en conservant une foi intacte est de reconnaître que notre Créateur avait la volonté de devenir chair et sang, et d’expérimenter personnellement la souffrance – de partager nos grandes épreuves, afin que nous puissions partager l’éternité avec Lui. Cependant, les Écritures rapportent un rôle spécifique des meurtrissures, des coupures et des blessures du Christ. Dans sa première épître, l’apôtre Pierre parla du Messie « qui a porté lui-même nos péchés en son corps sur le bois, afin que morts aux péchés nous vivions pour la justice ; lui par les meurtrissures duquel vous avez été guéris » (1 Pierre 2 :24). L’apôtre se réfère ici à la prophétie messianique dans Ésaïe 53 :5 disant qu’Il « était blessé pour nos péchés, brisé pour nos iniquités ; le châtiment qui nous donne la paix est tombé sur lui, et c’est par ses meurtrissures que nous sommes guéris ». En quoi ce prix payé par Jésus se rapporte-t-il au péché ? Réfléchissez un instant : quelle est l’origine des maladies ? Des blessures ? Des infirmités ? De telles afflictions physiques sont présentes dans le monde actuel à cause du péché. C’est une partie du prix à payer par le monde qui choisit fréquemment l’option du péché. Dieu déclara que les maladies et les afflictions s’abattraient sur les peuples qui rejetteraient les commandements de leur Créateur (Deutéronome 28 :27, 60). De la même manière, Il associe le fait de Lui obéir avec la guérison et l’absence de maladies (Exode 23 :25). Il déclare Lui-même être le Dieu « qui pardonne toutes tes iniquités, qui guérit toutes tes maladies » (Psaume 103 :3). Dans les instructions de Jacques pour demander une onction aux anciens de l’Église lorsque nous sommes malades, un lien est établi entre la maladie et le péché : « Quelqu’un parmi vous est-il malade ? Qu’il appelle les anciens de l’Église, et que les anciens prient pour lui, en l’oignant d’huile au nom du Seigneur ; la prière de la foi sauvera le malade, et le Seigneur le relèvera ; et s’il a commis des péchés, il lui sera pardonné » (Jacques 5 :14-15). Cela ne signifie pas que nous avons toujours commis un péché lorsque nous tombons malades – après tout, si un collègue ignore le principe biblique de la quarantaine (voir Nombres 19 :13, 20), nous pouvons également attraper sa maladie ! Mais la cause est toujours le péché (voir aussi Jean 9 :2-3). Dieu n’a pas créé un monde destiné à être infesté de maladies et de handicaps. La condition de notre monde est le résultat de la présence du péché. Les corps brisés font partie du prix à payer par ce monde pour ses péchés. Jésus a également porté ce prix sur Lui-même, dans Son propre corps brisé. Il n’avait transgressé aucune des lois divines destinées à protéger notre santé. Il n’avait jamais mangé d’aliments impurs. Il avait traité Son corps avec tout le respect que Dieu attend de notre part (voir 1 Corinthiens 6 :19). Il n’avait jamais succombé à la gloutonnerie, à l’abus d’alcool ou la prise d’autres substances qui détruisent notre corps. Cependant, Son corps fut brisé bien au-delà de ce que la plupart d’entre nous puissent imaginer. Pourquoi ? Comme nous l’avons lu dans 1 Pierre 2 :24, c’est par Ses meurtrissures que nous sommes guéris. Il a également payé ce prix physique qui découle du péché. Dieu permet parfois que nos maladies ou nos infirmités durent dans le temps afin d’accomplir Son but, comme ce fut le cas pour l’apôtre Paul (2 Corinthiens 12 :7-10). Dieu a notre salut en tête – avec des corps glorieux qui dureront pour l’éternité – et les quelques années que nous vivons sur Terre dans ces corps temporaires (2 Corinthiens 5 :1-4) sont un entraînement et une préparation pour la vie éternelle. Cela n’empêche pas que le corps brisé du Christ reflète bel et bien les conséquences du péché qui se manifestent dans notre chair et que cela représente une part importante du prix qu’Il a payé. Paul écrivit aux Corinthiens, à l’époque de la Pâque, que « celui qui mange et boit sans discerner le corps du Seigneur, mange et boit un jugement contre lui-même. C’est pour cela qu’il y a parmi vous beaucoup d’infirmes et de malades, et qu’un grand nombre sont morts » (1 Corinthiens 11 :29-30). Il est intéressant que l’Ancien Testament mentionne également des individus ayant besoin d’une guérison physique, parce qu’ils n’avaient pas observé la Pâque de l’époque d’une manière digne (2 Chroniques 30 :18-20). Jésus-Christ ne méritait pas que Son corps soit lacéré et meurtri, mais pourtant cela eut lieu. Et Il était prêt à payer ce prix. Le péché nous sépare de DieuUne troisième conséquence inéluctable du péché est la séparation d’avec Dieu. Le prophète Ésaïe expliqua cela simplement lorsqu’il mit en garde la maison de Jacob : « Non, la main de l’Éternel n’est pas trop courte pour sauver, ni son oreille trop dure pour entendre. Mais ce sont vos crimes qui mettent une séparation entre vous et votre Dieu ; ce sont vos péchés qui vous cachent sa face et l’empêchent de vous écouter » (Ésaïe 59 :1-2). Si nous refusons de nous séparer du péché, le péché nous séparera de Dieu. La pureté et la sainteté de Dieu sont enseignées sans ambages dans les Écritures. Psaume 5 :5 nous dit que Dieu ne prend pas plaisir au mal. Après que le feu eut frappé Nadab et Abihu, les fils d’Aaron, pour ne pas avoir respecté Sa sainteté, Il avertit : « Ma sainteté doit être respectée par tous ceux qui s’approchent de moi » (Lévitique 10 :3, Semeur). Nous avons la garantie qu’à l’achèvement de Son plan de salut pour l’humanité, Dieu s’assurera que Son Royaume et Sa famille soient à jamais séparés du mal (Apocalypse 22 :15). Il « habite une lumière inaccessible » (1 Timothée 6 :16) et il n’y a pas de place pour le mal ou l’injustice – le péché – en Sa présence. Encore une fois, les paroles d’Ésaïe nous rappellent que nos péchés nous séparent de Dieu. C’est une partie du prix. Et Jésus-Christ a également payé ce prix. Alors qu’il était suspendu au bois, crucifié comme un criminel pour nos péchés – pas pour les Siens – le Sauveur cria d’une forte voix : « Eloï, Eloï, lama sabachthani ? ce qui signifie : Mon Dieu, mon Dieu, pourquoi m’as-tu abandonné ? » (Marc 15 :34). Jésus citait Psaume 22 :2 : « Mon Dieu ! mon Dieu ! pourquoi m’as-tu abandonné, et t’éloignes-tu sans me secourir, sans écouter mes plaintes ? » Nous ne devons pas penser que le Christ était dans la confusion au sujet de Sa situation, mais Son cri révèle le fardeau de Son état : à ce moment-là, Il était abandonné par Dieu. Ce n’est pas que le Père ne L’aimait plus – Celui qu’Il avait connu et aimé depuis la nuit des temps, dans une relation de proximité et de confiance que nous pouvons difficilement imaginer en tant qu’êtres humains. Il L’aimait toujours autant. Mais cette distance, à un moment donné, faisait partie du plan, car c’est une partie du prix du péché. Les théologiens résistent parfois à l’idée que Dieu aurait abandonné Jésus à ce moment-là, en disant que cela enlève la confiance que nous devrions avoir dans le fait que Dieu ne nous abandonnera jamais, par rapport à la promesse qu’Il ne nous délaissera ni ne nous abandonnera (Hébreux 13 :5). Cependant, ils ne comprennent pas ce point. Nous pouvons avoir encore plus confiance dans cette promesse, car Jésus-Christ a payé cette partie du prix du péché. Sur ce point, l’apôtre Paul utilise un langage si clair que beaucoup s’en sont offensés, mais cela n’enlève rien à cette vérité : « Celui [le Christ] qui n’a point connu le péché, il [Dieu] l’a fait devenir péché pour nous, afin que nous devenions en lui justice de Dieu » (2 Corinthiens 5 :21). Cela ne signifie pas que le péché est une sorte de « substance » en laquelle le Christ a été transformé – ce qui serait totalement absurde. Mais à ce moment précis, sur le bois de la torture et de la mort, Jésus-Christ représentait tous nos péchés. Et parce que le péché sépare de Dieu, cette séparation était un autre aspect de notre amende que le Fils de Dieu a portée volontairement pour nous, afin que ceux qui se tournent vers Dieu n’aient plus à la porter eux-mêmes. Paul expliqua dans Galates 3 :13 que le Christ est devenu une malédiction à notre place, en portant Lui-même cette malédiction car « maudit est quiconque est pendu au bois ». Paul se référait à Deutéronome 21 :23 disant que celui qui est mis à mort et pendu au bois « est un objet de malédiction auprès de Dieu ». Jésus-Christ n’avait rien fait de mal pour être maudit. Il n’avait rien fait méritant la séparation de Dieu. La profonde solitude qu’Il éprouva pendant ces derniers instants de Sa souffrance – lorsqu’Il ne ressentait plus la présence de Celui dont Il n’avait jamais été séparé – était une solitude qu’Il n’avait pas méritée. Nous méritons cette solitude. Nos péchés nous séparent de Dieu. C’est une partie du prix et Il a volontairement porté ce prix afin que ceux qui se tournent vers Lui n’aient jamais à payer eux-mêmes ce prix. Intégralement payéNous n’apprécions pas toujours à sa juste valeur le salaire du péché. Mais au cours des derniers instants de l’ultime Pâque de Sa vie physique, Jésus-Christ montra la terrible plénitude de ce coût. Le péché ne nous apporte rien d’autre que la mort. Il nous détruit physiquement et il nous sépare de notre Créateur. Cependant, le Fils de Dieu a affronté ces conséquences et Il a volontairement payé en intégralité le prix correspondant au péché. Il a fait cela afin de nous ouvrir la porte à un avenir éternel dans Sa famille, où nous ne connaîtrons plus jamais le péché. Au lieu d’affronter la mort, nous bénéficierons de la vie éternelle (Jean 3 :16). Au lieu des souffrances liées à nos corps brisés, nous pouvons accéder à la guérison pendant cette vie et, finalement, recevoir des corps glorieux et puissants qui ne connaîtront plus jamais la douleur (1 Corinthiens 15 :42-44 ; Apocalypse 21 :4). Au lieu de la séparation, nous habiterons éternellement aux côtés de Dieu, au sein de Sa famille (Apocalypse 21 :3). Au cours de cette saison, souvenons-nous de cette vérité remarquable et méditons à ce sujet. Ceux qui ont la volonté de se repentir, de se détourner du péché et de se tourner vers leur Créateur, ont l’opportunité de connaître la joie de savoir que l’amende de leurs péchés a été totalement supprimée. Car le Créateur, Jésus-Christ, a volontairement payé le prix du péché – et Il l’a payé intégralement.
Article a163 – www.eglisedieuvivant.org
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