Lettre aux abonnés, 1er mai 2020
Chers abonnés au Monde de Demain,
Salutations depuis Charlotte, en Caroline du Nord ! J’ai une excellente nouvelle à vous annoncer. C’est une offre que nous allons proposer à tous les abonnés du Monde de Demain. Celle-ci arrive à point nommé. Elle est en préparation depuis plusieurs années, mais elle est plus pertinente que jamais dans le contexte actuel. Cependant, je dois d’abord aborder ce qui nous préoccupe tous – le coronavirus et son impact sur notre vie.
Notre monde a basculé en moins d’un mois. À la mi-janvier, vous aviez peut-être entendu des rumeurs, ou lu des informations dans les dernières pages du journal, au sujet d’une mystérieuse maladie frappant les habitants d’une ville chinoise dont vous n’aviez probablement jamais entendu parler. Lorsque des nouvelles plus graves commencèrent à se répandre, aviez-vous imaginé, ne serait-ce qu’un instant, que cela affecterait votre vie de cette manière ? Il faut remonter à la grande pandémie de grippe de 1918 pour trouver quelque chose de similaire à ce que nous voyons aujourd’hui à l’échelle mondiale.
Où cela va-t-il nous mener ? Beaucoup se demandent quelles sont leurs chances de survie s’ils entrent en contact avec cette menace invisible. D’autres pensent que la situation est exagérée et ils craignent que les dommages causés à nos économies soient bien plus dangereux. Ces deux opinions ont de bons arguments. Pour les personnes âgées et celles atteintes de problèmes de santé sous-jacents, le Covid-19 constitue en effet une menace sérieuse. Certains individus plus jeunes, apparemment en bonne santé, trouvent également que ce coronavirus est un ennemi agressif et brutal. Pourtant, comme je l’ai déjà mentionné ailleurs, les plus grandes séquelles de cette pandémie ne seront peut-être pas le nombre de décès, aussi tragique cela soit-il, mais bien les retombées économiques et géopolitiques. Nous attendons encore de voir toutes les répercussions de la mise à l’arrêt des économies nationales à une si grande échelle.
Ce n’est certainement pas la première pandémie à frapper l’humanité. Les décès dus au Covid-19 sont très faibles par rapport à la grippe espagnole de 1918. Il y a quelques années, le bilan humain causé par cette pandémie était estimé à 25 millions de décès, mais des enquêtes approfondies plus récentes font désormais état de 50 à 100 millions de morts dans le monde ! Même le plus petit de ces deux nombres, 50 millions, laisse pantois tellement c’est un chiffre stupéfiant au vu de la population mondiale d’environ 1,8 milliard d’êtres humains en 1918 – moins d’un quart des 7,8 milliards d’aujourd’hui.
Il est difficile d’imaginer une telle mort et une telle souffrance, mais il est tout aussi choquant pour beaucoup d’entre nous d’apprendre que la mortalité et la peur actuelle, ainsi que les perturbations dans notre vie et celle des êtres humains dans le monde entier, ne devraient pas avoir lieu. Tout simplement parce que les causes de ces agents pathogènes sont connues. Voyez ce commentaire scientifique qui fut publié en pleine épidémie de SRAS : « “Le fait que le SRAS et la plupart des virus de la grippe viennent de Chine méridionale n’est pas une surprise”, déclare le virologue Michael Lai, qui pense que les coutumes sociales de la région de capturer et de manger des animaux sauvages exposent les gens aux virus des animaux » (“SRAS : Where Did It Come From ?”, Popular Science, juillet 2003).
Avez-vous compris, mes chers amis ? Relisez cette déclaration. Nous considérons la saison de la grippe comme quelque chose allant de soi, mais selon ce virologue, « la plupart des virus de la grippe viennent de Chine méridionale », en raison des habitudes alimentaires locales.
Cette analyse est confirmée par l’Association américaine de microbiologie : « Les coronavirus sont bien connus pour entreprendre des recombinaisons génétiques, qui peuvent conduire à de nouveaux génotypes et [de nouvelles] épidémies. La présence d’un grand réservoir de virus semblables au SRAS-CoV chez les chauves-souris rhinolophes, associée à la culture de consommer des mammifères exotiques dans le sud de la Chine est une bombe à retardement. La possibilité d’une réapparition du SRAS et d’autres nouveaux virus d’animaux ou de laboratoires, et donc le besoin de s’y préparer, ne doit pas être ignorée » (Clinical Microbiology Reviews, octobre 2007, page 683). Cet avertissement avait été lancé en 2007 !
Cela étant, nous ne devrions pas nous sentir trop confiants en Occident. S’il est vrai que la plupart des virus de la grippe proviennent d’Asie, la grippe espagnole de 1918 pourrait constituer une exception. La plupart des autorités s’accordent à dire qu’il s’agissait d’une grippe porcine et qu’elle ne venait pas d’Espagne. Certaines indications laissent à penser qu’elle viendrait d’Europe ou d’Asie, mais une théorie très sérieuse déclare qu’elle proviendrait d’un élevage porcin situé dans l’État du Kansas, ou dans ses environs, aux États-Unis. Elle se serait répandue en Europe par le biais des soldats américains envoyés sur le continent pendant la Première Guerre mondiale. Les faits permettent de suspecter n’importe lequel des trois continents. Et peu importe que ce virus ait été transmis aux porcs ou par les porcs, Dieu n’a jamais destiné les hommes et les porcs à interagir comme nous le faisons – en élevant, en abattant et en consommant ces animaux impurs.
À l’heure actuelle, nous ne connaissons pas avec certitude l’origine exacte de ce nouveau coronavirus. Les premiers rapports font état d’un « marché d’animaux » à Wuhan où des bêtes exotiques vivantes sont empilées les unes sur les autres, créant un environnement idéal pour que les virus se mélangent chez certains animaux. L’autre théorie dominante est qu’il se serait échappé accidentellement d’un laboratoire de virologie P4 situé à Wuhan, qui étudie les coronavirus des chauves-souris rhinolophes.
Quoi qu’il en soit, ce coronavirus semble provenir d’une chauve-souris rhinolophe. Puisque le SRAS et d’autres agents pathogènes avant lui provenaient déjà de cette famille de chauves-souris, il n’est pas surprenant que ces mammifères soient ainsi étudiés. Mais en fin de compte, tout cela se produit à cause de gens qui, en premier lieu, consomment des chauves-souris. Chers abonnés, cela vous surprend-il que Dieu nous ait mis en garde dans Sa parole (Lévitique 11 ; Deutéronome 14) contre l’abattage et la consommation de chauves-souris, de porcs, de chameaux et d’une multitude d’autres animaux associés aux coronavirus et à d’autres maladies dangereuses ?
N’est-ce pas le moment idéal pour se demander quels autres principes nous sont donnés dans la Bible, par un Dieu aimant, afin de mener une vie saine ? Certains remettent en question l’amour de Dieu à cause de la crise que nous connaissons actuellement, mais pourquoi faudrait-il blâmer Dieu alors que nous refusons de lire et de vivre selon les règles qu’Il nous a données dans Son manuel d’instructions pour la vie ? Il serait peut-être temps d’arrêter de blâmer Dieu et de consulter ce livre fascinant !
Cette pandémie nous apprend que les personnes souffrant de comorbidité (c.-à-d. des pathologies préexistantes) sont beaucoup plus vulnérables aux complications et à la mort, mais beaucoup de ces conditions sous-jacentes sont le résultat de nos propres choix. La meilleure façon de les prévenir n’est pas de prendre des médicaments qui peuvent avoir des effets secondaires dangereux, mais de mettre en pratique des habitudes quotidiennes simples qui favorisent la santé.
Voyez ce que nous savons déjà sur la prévention des maladies. Nous savons que le tabagisme endommage les poumons, qu’il nuit au cœur et qu’il provoque plusieurs types de cancers. Nous savons que manger et boire trop sucré, ainsi que le manque d’exercice physique, favorisent la surcharge pondérale et sont des facteurs de diabète. Nous savons que le fait de se laver les mains et de mettre en quarantaine les personnes contagieuses sont de bonnes pratiques. Nous savons que la grippe et certaines pandémies résultent de la manipulation et de la consommation de viandes que Dieu a déclaré impures.
Réalisez-vous que l’écrasante majorité des maladies dans notre monde serait évitable si nous mettions en pratique ce que nous savons ? C’est pourquoi nous vous proposons une toute nouvelle brochure intitulée Des principes bibliques pour la santé. L’auteur, Dr Douglas Winnail, est titulaire d’un doctorat en anatomie et en médecine préventive, ainsi que d’un master en santé publique avec une spécialisation en nutrition, éducation sanitaire et santé internationale. Il détient aussi une licence en théologie à l’Ambassador College. Dr Winnail souligne certains points qui pourraient vous surprendre. Saviez-vous que la Bible donne des instructions sur l’élimination appropriée des déjections humaines, une pratique qui, si elle était appliquée, pourrait éliminer certaines des maladies parasitaires les plus répandues et les plus dangereuses dans le monde ?
Beaucoup d’entre nous ont entendu leur mère répéter l’adage suivant : « Mieux vaut prévenir que guérir » et cela s’applique assurément à notre santé. Il vaut mieux développer des habitudes saines avant l’apparition d’une maladie, plutôt que de les modifier après l’avènement de celle-ci. Par exemple, le diabète est un des principaux facteurs de risque du Covid-19, mais celui-ci est souvent le résultat d’un mode de vie et de choix individuels.
Le marché regorge de livres traitant de la santé, mais la brochure Des principes bibliques pour la santé diffère de ces publications car elle aborde ce sujet à la lumière de la Bible. Contrairement à ce que beaucoup pensent, notre Créateur veut que nous soyons en bonne santé – physiquement, émotionnellement et spirituellement. Comme Jésus l’a expliqué : « Le voleur ne vient que pour dérober, égorger et détruire ; moi, je suis venu afin que les brebis aient la vie, et qu’elles l’aient en abondance » (Jean 10 :10). L’apôtre Jean a également écrit : « Bien-aimé, je souhaite que tu prospères à tous égards et sois en bonne santé, comme prospère l’état de ton âme » (3 Jean 1 :2).
Veuillez accepter notre offre gratuite : Des principes bibliques pour la santé. Il vous suffit de nous retourner le coupon-réponse joint à ce courrier. C’est aussi simple que cela.
Au service du Christ,
Gerald Weston
PS : Notre offre gratuite vous donnera des clés pour vous aider à mener une vie saine et dynamique ! N’oubliez pas de nous retourner le coupon-réponse dès aujourd’hui afin d’obtenir un exemplaire gratuit de notre brochure Des principes bibliques pour la santé.