Lettre aux abonnés, 2 mai 2022
Chers abonnés au Monde de Demain,
Bonjour de Charlotte, en Caroline du Nord ! Je me rappelle un souvenir qui, je dois l’avouer, ne fut pas un de mes meilleurs moments. Mon épouse travaillait à temps partiel dans un grand magasin de détail et, chaque année, son équipe organisait un « dîner de gibier ». Chaque personne de son équipe apportait un plat à base de gibier – truite, saumon, canard, oie – tout ce qu’ils pouvaient attraper, tirer ou piéger. Dans le Michigan, où la chasse et la pêche sont populaires, il n’était pas difficile de contribuer à la cause.
L’équipe était modeste – seulement 10 ou 12 d’entre nous participaient au dîner, y compris les conjoints. Une année, lorsque nous sommes arrivés, la maîtresse de maison nous invita à entrer et nous dit que les femmes étaient dans la cuisine et que les hommes étaient au sous-sol en train de cuisiner des rats musqués – eh oui, certains des hommes en ont goûté. Carol et moi ne l’avons pas fait. Nous nous en sommes tenus aux aliments purs que Dieu destine à la consommation humaine – du chevreuil et des poissons purs.
Certains d’entre nous conversaient autour de la cheminée après le dîner, lorsque le sujet des différences entre les hommes et les femmes fut abordé. L’une des épouses, qui venait de sortir de l’université, a commencé à débiter l’endoctrinement qu’elle avait reçu, à savoir que les hommes et les femmes sont identiques, que la différence entre les sexes n’est qu’une construction sociale – les garçons sont en pantalon et jouent avec des camions et les filles portent des robes et jouent à la poupée. Elle avait avalé ce discours tel un hameçon au bout d’une ligne.
C’est à cet instant-là que mon moment indélicat et rustre est arrivé. Je ne vais pas répéter exactement ce que je lui ai dit, mais j’ai carrément remis en question ses facultés mentales. Ce n’était pas la meilleure façon de gérer des absurdités de ce genre dans un contexte social. Cela mit fin à sa participation dans la discussion et elle partit rejoindre les dames dans la cuisine. C’était il y a environ 40 ans ! Aujourd’hui, une grande partie de notre société adhère à ce programme de « construction sociale ». Beaucoup de grands magasins et d’enseignes de jouets ont supprimé les sections pour garçons et pour filles de leurs rayons afin de les mélanger. Pourquoi ne pas donner à chaque garçon une maison de poupée et à chaque fille un camion ? La confusion des sexes est loin d’être morte et elle revient aujourd’hui en force, avec quelques modifications. Nous avons à présent une génération de diplômés universitaires, et d’autres personnes, qui semblent croire qu’on ne peut pas déterminer le sexe d’un enfant à la naissance.
Même le département d’État américain a cédé à la pression, comme le montre ce reportage de la radio nationale publique datant de juin 2021 :
« À partir de maintenant, un demandeur de passeport américain peut simplement cocher “masculin” ou “féminin” pour notifier le genre – sans avoir à fournir de certificat médical si ce genre ne correspond pas à ses autres documents. Et bientôt, les demandeurs auront la possibilité de choisir une civilité qui n’est ni masculine ni féminine, a déclaré mercredi le département d’État.
Le secrétaire d’État Antony Blinken a annoncé que ces changements constituaient “de nouvelles étapes visant à garantir le traitement équitable des citoyens américains LGBTQI+, quel que soit leur genre ou leur sexe”. Ces mesures permettront également de tenir une promesse de campagne de Biden » (“The U.S. Will Add a 3rd Gender Option on Passports”, NPR.org).
Que se passe-t-il ? Pourquoi une telle confusion ? Et qu’est-ce qui se cache derrière ce programme qui transforme « le mal en bien » ?
Trop de gens ont perdu de vue le fait que la Bible révèle que Satan est réel et qu’il a séduit le monde entier (Apocalypse 12 :9). Les anciens prophètes bibliques prédirent ce que nous voyons aujourd’hui. Ésaïe prophétisa qu’un temps viendrait où nos dirigeants feraient prendre à nos nations des directions terriblement mauvaises (Ésaïe 3 :12) en appelant « le mal bien, et le bien mal » (Ésaïe 5 :20).
Tout le monde n’adhère pas à cette vision du monde sens dessus dessous. Dr Miriam Grossman est l’une des guerrières qui s’oppose ouvertement au mouvement de confusion des genres. Cette courageuse psychiatre professionnelle, qui a travaillé à l’université de Californie à Los Angeles, a fait irruption sur la scène en 2006 avec son livre intitulé Sans protection (Unprotected), dans lequel elle expose ce qui se passe dans les services de santé des universités des États-Unis, du Canada et, sans aucun doute, d’autres pays occidentaux. Dr Grossman révéla le but recherché de ceux qui projettent leur programme révolutionnaire sur la sexualité humaine :
« Le changement social que certains d’entre eux envisagent est profond. Ils espèrent déstabiliser une vérité de la science et de la civilisation : que les sexes sont profondément et essentiellement différents. Leur objectif est une culture androgyne, où les différences entre les hommes et les femmes sont ignorées ou niées, et où le lien qui les unit est dépourvu de singularité. Je soutiens que transformer la séance de thérapie ou la visite à la clinique en un instrument de promotion de ce programme est une corruption de la profession de la santé. Cela exige une réponse. Il est déjà assez grave que l’androgynie, la promiscuité et les “sexualités alternatives” soient reprises par Hollywood ; c’est une tout autre affaire que de les voir approuvées par des organisations professionnelles de santé et des administrateurs d’université. »
Un livre plus récent, Dommages irréversibles d’Abigail Shrier (édition du Cherche Midi) expose le démantèlement de la normalité. L’auteur est inquiète de ce qu’elle voit se produire – des groupes de jeunes femmes qui veulent être des garçons ou des hommes apparaissent dans les lycées et les universités de tous les États américains – sans doute sous l’effet de l’endoctrinement académique et des réseaux sociaux. Bien sûr, le mouvement inverse se produit également, comme en témoignent les actualités où des garçons et des hommes biologiques participent à des compétitions sportives féminines.
Nous vivons dans un monde où la différence entre les hommes et les femmes s’estompe dans les salles de classe, dans les gouvernements, dans les médias et dans les films. Quelle époque terrible pour grandir lorsque les écoles, voire certains parents, rejettent l’idée qu’un enfant naît garçon ou fille. Ils disent qu’il ou elle peut être l’opposé de ce que son corps montre, ou peut être quelque chose d’entièrement imaginaire basé sur des sentiments temporaires ou ce que la profession médicale appelle la « dysphorie de genre ». Alors que nous cherchons toujours un traitement contre l’anorexie, l’idée erronée qu’un corps maigre est corpulent, il devient impopulaire de contester les idées fausses selon lesquelles un corps masculin est féminin, ou l’inverse.
Ce mouvement remonte à plusieurs décennies. Il n’a pas commencé il y a deux ans avec l’avertissement d’Abigail Shrier, ni il y a 16 ans avec l’exposé de Miriam Grossman. Il n’a même pas commencé il y a 40 ans lors du « dîner de gibier » auquel ma femme et moi avions participé. Ce programme est en préparation depuis des décennies et c’est seulement maintenant qu’il montre à quel point il est pervers.
Si vous voulez savoir à quoi vos enfants et vos petits-enfants sont confrontés dans ce monde de plus en plus confus, nous vous proposons un DVD gratuit, jamais offert auparavant, intitulé « La vérité sur le mouvement transgenre ». Il est présenté par Wallace Smith. Nous offrons aux abonnés du Monde de Demain la primeur de recevoir une copie avant sa mise à disposition à un plus grand nombre de téléspectateurs.
Sur la page d’accueil du Dr Grossman, on peut lire en gros caractères les phrases suivantes, qui reflètent sa frustration à l’égard de cette idéologie développée par un certain nombre de responsables de programmes universitaires de soins de santé :
Ma profession prise en otage.
Mes collègues invertis.
Des éducateurs corrompus. Des enfants sacrifiés.
Des familles détruites.Une civilisation démantelée.
Ici, au Monde de Demain, nous ne sommes pas des professionnels de la santé. Nous sommes engagés dans l’enseignement de la vérité biblique. Malheureusement, même au sein du clergé, nombreux sont ceux à avoir embrassé le mouvement transgenre. Beaucoup d’autres manquent de courage, craignant d’être ostracisés s’ils s’expriment. Ils ont abandonné l’enseignement biblique et les enfants sont sacrifiés sur l’autel de la popularité sociale ou de la peur de la « dénonciation ». Les familles sont détruites et la civilisation démantelée, mais pas ici, au Monde de Demain. Nous continuerons à nous exprimer sur ces questions, comme vous pourrez le constater en visionnant le DVD de Wallace Smith intitulé « La vérité sur le mouvement transgenre ». Il vous suffit de nous retourner le coupon-réponse pour obtenir une copie. Ce DVD est gratuit, comme tous ce que nous proposons.
Ne supposez pas que ce mouvement ne touchera pas vos enfants et vos petits-enfants. Si vous avez regardé les informations, vous savez que les écoles – dès la maternelle – et des parcs d’attraction, tels que Disneyland, font la promotion de ce programme. Des vies sont changées de manière irréversible et les taux de suicide sont en hausse. Le danger est réel, alors préparez-vous en sachant ce qui se passe dans les écoles et sur les réseaux sociaux. Commandez votre exemplaire dès aujourd’hui.
Au service du Christ,
Gerald Weston
PS : Notre offre gratuite vous aidera à comprendre ce à quoi vos enfants et vos petits-enfants sont confrontés. Nous vous offrons ce DVD gratuit « La vérité sur le mouvement transgenre » avant qu’il ne soit proposé à nos téléspectateurs. Réclamez votre exemplaire gratuit dès aujourd’hui !