Visite ministérielle en Guyane française et au Suriname
Mon épouse et moi avons visité les frères et sœurs, ainsi que des membres prospects, en Guyane française et au Suriname du 16 au 23 février. Samedi matin, j’ai donné le sermon pendant l’assemblée au domicile de la seule famille membre de l’ÉDV en Guyane française puis, l’après-midi, j’ai présenté une étude biblique à notre hôtel devant six nouvelles personnes qui avaient répondu à l’invitation envoyée à 33 abonnés dans la région. Un des visiteurs assistait aux assemblées à l’époque de l’ÉUD, trois autres sont membres de l’Église de Dieu du septième jour mais ils sont très intéressés par ce que nous enseignons, et il y avait deux dames entièrement nouvelles. Les échanges ont été très intéressants.
Le lendemain, accompagnés du couple de membres et de leurs enfants, nous avons fait trois heures de voiture pour visiter un homme qui nous avait demandé d’apporter beaucoup de nourriture spirituelle car il a des problèmes pour recevoir les publications par courrier. Nous allons désormais lui envoyer la littérature depuis la France. La Guyane étant un département français, les services postaux fonctionnent beaucoup mieux avec la France qu’avec les États-Unis. Il était très heureux de rencontrer les membres qui étaient avec nous, car il habite loin de chez eux. Après avoir effectué une traversée en ferry vers le Suriname, nous avons conduit trois heures supplémentaires pour rencontrer un membre de la famille qui nous accompagnait. Cette dame a tourné le dos à des décennies de pratiques religieuses lorsque sa fille fut baptisée dans l’Église. Elle souhaitait en apprendre davantage sur la vérité et la véritable vie chrétienne. D’autres proches, ainsi que des voisins et des amis étaient également intéressés. Nous sommes restés trois jours sur place, à répondre aux questions au sujet de l’Œuvre, de l’Église, des doctrines, du sabbat, des Jours saints, de la loi divine, etc. Huit adultes étaient présents. Les échanges avaient lieu en anglais et en français. Lorsque cela était nécessaire, nos membres traduisaient dans le dialecte local ou en néerlandais. Ce fut très encourageant pour chacun d’entre nous.
Nous sommes désormais rentrés en Martinique et nous avons entendu que deux autres personnes souhaitaient « en savoir davantage sur la vraie Église de Dieu ». Il est impressionnant de voir l’intérêt dans cette région.